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Mais prenez bien conscience de la gravité de cette crise. Et sur ces sujets, la fraude fiscale et les paradis fiscaux, nous n'allons pas en rester à quelques amendements à l'occasion d'un collectif budgétaire. On fera des évaluations, et aussi de la pédagogie à l'adresse des Françaises et des Français. Parce qu'il n'est pas admissible de demand...
Des transactions discrètes !
Sans vouloir en rajouter, monsieur le ministre, j'appelle une nouvelle fois votre attention sur le fait que tous les efforts de régulation que vous ferez par ailleurs seront sans effet si vous n'attaquez pas le problème de front. On dit qu'on ne peut rien faire si les États-Unis, et le Japon également, ne prêtent pas une oreille attentive. J'en...
Malheureux ! Sur le foie gras, si, bien sûr ! (Sourires.)
Et de Mme Thatcher !
C'est de nouveau le cas !
Sur 26 !
Allez le dire aux Anglais !
Ce n'est pas le sujet !
Ce n'est pas vrai !
Vous verrez ce que votre relance par l'investissement donnera !
La discussion autour de l'offre et la demande, cela fait cinquante ans qu'elle dure Et ce n'est pas le Café du Commerce, monsieur Chartier, cela vient tout droit de Dauphine ! Tout comme moi, monsieur le ministre, vous avez eu une expérience professionnelle ; vous aussi, monsieur Chartier. Avez-vous déjà vu un chef d'entreprise vous expliquer...
Cela ne va pas augmenter leur chiffre d'affaires !
Vous pouvez toujours applaudir Cest là une vieille revendication du CNPF, reprise par le MEDEF, et on en comprend les raisons. C'est une amélioration de la trésorerie, je ne le conteste pas. Le problème, monsieur Chartier, c'est que vous persistez à tout confondre.
Lorsqu'on est chef d'entreprise, on préfère avoir un crédit de campagne et un chiffre d'affaires en expansion plutôt qu'un chiffre d'affaires en contraction avec une trésorerie qui s'améliore ; parce qu'à la fin de l'exercice, cela fera tout de même des pertes !
C'est pourtant le b-a ba ; mais vous n'arrivez pas, semble-t-il, à le comprendre ! Tant qu'à dépenser 3,6 milliards d'euros, monsieur le ministre, vous auriez mieux fait de les consacrer à une accélération de l'investissement. En l'occurrence, vous auriez eu un effet multiplicateur. Avec votre mesure, certains auront peut-être un peu plus d'ox...
Il ne l'a pas tuée, arrêtez avec cela !
Exactement !
Madame la ministre, je partage tout de même un peu le souci du rapporteur et de M. de Courson. Le Gouvernement prend l'initiative d'une nouvelle modification de la taxe professionnelle, qui devient une véritable usine à gaz dans laquelle plus personne ne se retrouvera, et vous êtes prêts à tenir compte de toutes les réflexions, y compris celle...
Vieille recette ! (L'amendement n° 334, accepté par la commission, est adopté.)