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Nous avons entendu deux provocateurs !
Quel texte ?
Si vous voulez démolir le droit social, faites-le avec moins d'hypocrisie !
Ce n'est pas Ollier qui va me faire taire !
Moi, je n'ai jamais menacé qui que ce soit avec un pistolet !
Chez M. Juncker !
Ah non, pas ce club !
Voilà des applaudissements qui nous coûtent cher !
Monsieur le ministre, vous êtes pour les paradis fiscaux ! Alors, dites-le !
À ce prix-là, ça vaut le coup de frauder !
Inadmissible !
Aux États-Unis aussi !
Nous nous trouvons tout de même, monsieur le ministre, face à un problème important ! Nous sommes confrontés à une crise financière sur les origines de laquelle nous n'allons pas nous appesantir, d'autant qu'elles ne sont pas forcément celles que vous croyez. Reste que tout le monde s'accorde sur ses symptômes : dérégulation, excès, opacité.
Cela ne date pas d'aujourd'hui, madame, mais on demande 360 milliards d'euros au contribuable français pour garantir ces excès. Au cas où cela ne vous serait pas apparu, elle est là, la différence ! Pourquoi dis-je que c'est un problème, monsieur le ministre ? Parce que du fait de la dureté de la crise, des millions de Françaises et de Françai...
En l'occurrence, ce n'est pas de dizaines de milliers d'euros qu'il s'agit, et vous le savez aussi bien que moi, puisque votre profession vous l'a appris, comme la mienne me l'avait appris : c'est un sujet sérieux. Le plus choquant, c'est qu'au moment où l'on se prépare à mettre à disposition des sommes considérables, il ne se passe pas grand-c...
Exactement. Elle est parfaitement au courant de tous ces problèmes. Par conséquent, ne me dites pas que l'administration fiscale ne sait pas ce qui se passe. Si vous franchissez la porte de l'une de ces banques pour y déposer de l'argent à titre personnel, on vous prévient qu'en déposant à titre personnel, on s'expose un prélèvement forfaitaire...
Nous sommes en train de parler d'un sacré sujet, monsieur le président. Et j'ai accepté de défendre ces deux amendements en même temps pour ne pas y revenir deux fois. Hier soir, quand l'Assemblée a voté 6 milliards de garantie, il n'y avait pas de problème de frilosité juridique, il n'y avait pas de complication, il fallait y aller ! Et ce mat...
Pardon ?
Je crois que cela gêne la majorité, et jusqu'à nouvel ordre, vous faites partie de la majorité, n'est-ce pas ? (Vives protestations sur les bancs du groupe UMP.)
Je comprends vos réactions, mesdames et messieurs de la majorité. Vous faites sauter la demi-part au Sénat, mais vous nous avez fait voter hier soir 75 000 euros de dégrèvement pour le logement locatif. Je comprends que vous soyez gênés aux entournures.