1741 interventions trouvées.
Ayez confiance : il le sera !
Absolument.
Très bien !
Très juste !
Je n'avais pas l'intention d'intervenir sur cet article, mais les propos de certains orateurs appellent des clarifications. J'ai la conviction croissante que nos collègues de l'opposition n'ont, au fond, rien contre l'objet du texte. (Exclamations sur les bancs du groupe socialiste, radical, citoyen et divers gauche et du groupe de la Gauche d...
L'idée de permettre à l'État, pour son propre compte, et aux collectivités en relation avec lui, d'assurer l'accueil des élèves les jours où il est impossible de faire autrement, répond à une profonde aspiration des familles. Et nos collègues savent que s'y opposer ne leur vaudrait pas que des remerciements.
D'ailleurs, en dehors de l'hémicycle, ils sont nombreux à admettre la logique de ces dispositions.
C'est la raison pour laquelle l'opposition, faisant feu de tout bois, s'exprime sur chaque article afin de parler de tout, sauf du texte !
On peut effectivement regarder par le petit bout de la lorgnette et, partant du droit à l'accueil, tel qu'il est clairement défini dans ce projet, disséquer l'ensemble du système éducatif, égrener les reproches
ou, au contraire, valoriser tel ou tel aspect. Mais ce n'est pas l'objet du projet de loi. La réalité, c'est que dans l'immense majorité des cas, en cas d'absence inopinée et totalement impossible à remplacer, une prise en charge des enfants est assurée de fait ce à quoi personne ne trouve à redire. Mais en cas d'absence non prévue, et nota...
Les parents ne savent pas, alors, ce qu'ils vont pouvoir faire de leurs enfants pendant la journée. L'objet du texte est donc simple : il consiste certes à affirmer que, pour l'État, l'enjeu majeur reste d'assurer la continuité de l'enseignement, mais aussi à garantir aux familles que dans le premier degré comme c'est le cas dans le second ,...
..cela n'aura aucune incidence et n'empêchera pas la majorité de soutenir le Gouvernement en adoptant ce texte clair et responsable qu'attendent nos concitoyens. (Applaudissements sur les bancs du groupe de l'Union pour un mouvement populaire.)
Il n'y a pas de problème !
Ce n'est pas casser le droit de grève, c'est respecter les familles !
Absolument !
Le droit de grève n'est pas un droit de prise en otage !
On est dans le premier degré, pas dans le second !
Très bien !
Je voudrais réagir à l'intervention de Mme Mazetier parce que, derrière ses propos, il y a une fois de plus la volonté d'opposer enseignement public et enseignement privé, et c'est totalement insupportable.
Je tiens à le dire tranquillement mais avec force, dans notre pays, jusqu'à plus ample informé, et personne, pendant les quinze ans de gouvernement socialiste ne l'a vraiment remis en cause, il y a un service public de l'éducation nationale qui comprend l'enseignement public et l'enseignement privé sous contrat. (« Très bien ! » sur les bancs d...