2350 interventions trouvées.
Mon rappel au règlement se fonde sur l'article 58, alinéa 1. Franchement, je suis surpris par le déroulement de la séance. Quand M. Geoffroy et M. Lachaud ont eu la parole, ce n'était pas, que je sache, pour répondre au Gouvernement et à la commission. Je m'étonne donc que nous n'ayons pas pu l'avoir ensuite. J'ai juste une question très simp...
puisqu'il s'agissait d'écoles privées sous contrat avec l'État, que c'est l'État qui paierait et non les collectivités locales, ce qui laisse d'ailleurs entendre que, pour le reste, les collectivités locales auront sans doute à mettre la main à la poche. Je demande donc que le ministre nous dise clairement ce qu'il en est. C'est un sujet très...
Je demande la parole pour un rappel au règlement.
Votre attitude nous contraint à des rappels au règlement successifs, monsieur le président !
Je serai très bref. Je ne trouve pas correct le petit manège par lequel les députés de la majorité, après avoir exposé leur point de vue, nous empêchent de répondre à la commission et au Gouvernement en retirant des amendements qui méritent débat. (« C'est le règlement ! » sur les bancs du groupe de l'Union pour un mouvement populaire.) Il y a...
C'est parce que je connais votre capacité à bien mener les débats, monsieur le président, que je vous demande de nous laisser simplement répondre, sans obstruction et sans abuser de notre temps de parole, au Gouvernement et à la commission quand ils se sont exprimés sur un amendement. Je vous promets que nous ne le ferons pas systématiquement, ...
C'est n'importe quoi !
Vous insultez les enseignants !
Vos propos sont scandaleux !
Vous dites n'importe quoi !
Les cinq minutes sont largement dépassées, monsieur le président.
Si j'ai émis le souhait, monsieur le président, de m'exprimer sur l'article 3, c'est pour répondre aux emportements, pour ne pas dire plus, de M. Goasguen. (Protestations sur les bancs du groupe de l'Union pour un mouvement populaire.) On pourrait en effet parler de délire.
J'aurais pu vous demander, monsieur le président, de suspendre la séance, ou demander la parole pour fait personnel. Mais ce n'est pas de la procédure que je veux, c'est du débat politique.
Étant donné la gravité de vos propos, monsieur Goasguen, je vous demande de les retirer (Protestations sur les bancs du groupe de l'Union pour un mouvement populaire), surtout après ce qui s'est passé hier : chacun a reconnu, jusque sur les bancs de la majorité et du Gouvernement, que tout le monde ici était fondé à s'exprimer sur l'éducation n...
Voilà pourquoi vous n'avez pas à nous dénier le droit de nous exprimer sur le sujet, comme vous l'avez fait à mon endroit, en me conseillant de m'occuper de mes affaires plutôt que de l'éducation nationale.
J'arrive à l'article, monsieur le président, si M. Lefebvre, à défaut de M. Copé, qui n'est pas là, rappelle sans tarder ses troupes, comme il l'a fait hier en s'exprimant au nom de votre groupe, à un peu plus de sérénité et de respect des débats. Ce que vous avez dit à propos de l'article 3 est extrêmement grave, monsieur Goasguen. Vous avez...
Vous avez eu des propos encore plus graves, qui trahissent le fond de votre pensée sur la question du droit de grève. Je pense à cette expression de « prise en otage » que vous avez employée une fois de plus
au moment où toute la France communie si je puis dire (Exclamations sur les bancs du groupe de l'Union pour un mouvement populaire) dans un élan unanime de soutien à la franco-colombienne Ingrid Bétancourt, qui sait, elle, ce que signifie être pris en otage. Cessez donc, vous et vos amis, d'employer cette expression pour qualifier la grèv...
Je connais le règlement autant que vous, monsieur le président. Je vous demande, monsieur le ministre, de rétablir la vérité en ce qui concerne les retenues sur salaire pour faits de grève dans l'éducation nationale, car le mensonge commis à l'instant par M. Goasguen à ce sujet est particulièrement choquant. (Protestations sur les bancs du gro...
M. Lefebvre a cité une émission de télévision : il la regarde trop, ou bien il y passe trop.