Les amendements de François Brottes pour ce dossier
9 interventions trouvées.
Mais c'était finalement une excellente chose et je remercie ceux qui m'ont permis de ne pas m'exprimer hier soir de pouvoir le faire aujourd'hui, puisque, entre-temps, une personnalité majeure de la majorité a tenu des propos assez révélateurs que personne n'a relevés depuis ce matin au cours des débats. Je vous dirai un peu plus tard le nom de...
Sans être un bon mathématicien, je me dis par conséquent que les données démographiques disponibles en 2003 sont strictement les mêmes qu'aujourd'hui.
Puisqu'en 2003 vous aviez trouvé la solution, c'est bien une autre raison qui vous amène aujourd'hui à faire de nouvelles propositions. C'est une raison à double clic, ainsi que Pierre-Alain Muet, brillant économiste, vient d'en faire la démonstration : la crise, certes réelle, mais aussi le fait que vous vous arc-boutez sur le bouclier fiscal ...
Même si vous nous dites « on fera moins que si c'était pire », comme le relève Alain Vidalies, il y aura bien une obligation de travailler plus longtemps. Les plus précaires, les plus fragiles notamment les femmes, comme vient de l'expliquer brillamment Catherine Coutelle vont être les premières victimes. Pire, le Premier ministre a fait ...
Ce qui compte, c'est ce qui est dit ici. Ce qui est écrit dans les rapports n'éclaire malheureusement pas beaucoup l'application de la loi.
Pardonnez-moi de m'être un peu emporté hier, lorsque vous avez souhaité que nous nous reportions à la page 28, je crois, de votre rapport. En tout état de cause, c'est quand même mieux quand le rapporteur qui est là pour éclairer le débat le fait à l'oral dans l'hémicycle de façon à ce que ce soit convenablement transcrit. Le rapporteur mais...
Selon eux, dès l'instant où l'on se réfère à la fiscalité, c'est que l'on étatise ! Dans notre conception, la fiscalité est progressive et juste, elle redistribue la richesse et instaure une solidarité nationale. C'est peut-être une étatisation au sens où vous l'entendez, mais au service de l'intérêt général et de la solidarité nationale.
Pour vous, à droite, l'étatisation, c'est pour servir les intérêts de quelques-uns. Je n'insiste pas sur vos pratiques, mais je signale que nous n'avons pas la même approche. Dans le domaine de la culture, par exemple, nous souhaitons que le budget de la nation soutienne la création artistique, alors que vous prônez l'arrêt des subventions à ce...
lesquelles personnes, d'ailleurs, n'auront pas droit à grand-chose dans la réforme dont nous discutons, voilà un gouvernement, donc, qui vient nous expliquer qu'il n'y a aucun aléa sur le terrain de l'emploi et que celui-ci représente un élément solide par rapport à la fiscalité. Je dois me pincer pour me prouver que je ne rêve pas quand j'ent...