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Il n'y a que les problèmes du PS qui vous intéressent ?
Il faudrait beaucoup parler de François Mitterrand, alors !
Et Frêche ? Vous ne parlez pas de Frêche ! (Exclamations sur les bancs du groupe SRC.)
Donneuse de leçons !
C'est inadmissible ! Vous êtes intolérante !
Ouais, ouais !
Les socialistes s'en vont ! Ils ont faim ! Ils ont soif ! Elle est belle, la courtoisie républicaine !
M'accordez-vous une minute de plus, madame la présidente ?
Je suis persuadé de votre mansuétude Madame la présidente, monsieur le ministre, mes chers collègues, le débat sur l'identité nationale est lancé, et plutôt bien lancé. Ceux qui en ont peur sont ceux qui le craignent (Exclamations et rires sur les bancs du groupe SRC) ; ce sont ceux qui ne veulent rien, qui ne voient rien ou qui n'ont plus ri...
car vous avez eu le courage de prendre cette initiative, avec le soutien du Chef de l'État. Ce débat est l'occasion de répondre à une véritable question qu'il convient de ne pas ignorer : aujourd'hui, qu'est-ce qu'être français ? Cette question ne devrait pas être un sujet de polémiques ou d'affrontements, mais offrir l'occasion d'un véritable...
Madame la présidente, les six minutes ne sont pas terminées.
Non, six ! Vous l'avez dit tout à l'heure, et tous nos collègues l'ont entendu ! (Exclamations sur les bancs du groupe SRC.) L'identité de la banlieue, c'est cette identité du double respect, que le Président de la République rappelle aujourd'hui dans Le Monde : respect de ceux qui arrivent et respect de ceux qui accueillent. Une vielle expre...
Exactement !
Oui !
Je pensais que vous citeriez la Seine-Saint-Denis.
Très bien !
Tout d'abord, et je tenais à le dire à M. Manscour, mon père et mon grand-père aussi étaient ferrailleurs. (Sourires.) Il y a des ferrailleurs en Martinique ; il en existe aussi en banlieue parisienne. Mais il y a également des élus qui, loin de se contenter de ferrailler, cherchent à construire.
Nous pourrons en reparler tout à l'heure ! Madame la ministre, nous sommes rassemblés pour débattre de l'avenir institutionnel de la Martinique et de la Guyane. Les 10 et 24 janvier prochains, les Martiniquais et les Guyanais seront en effet appelés aux urnes pour une consultation électorale locale, voulue par le chef de l'État. Ils se prononc...
Loin de moi l'idée de donner aux ultramarins appelés à se prononcer les 10 et 24 janvier une directive de parti ou la position de la majorité. Il s'agit seulement de vous présenter l'avis, l'éclairage, d'un élu de banlieue, qui vit parmi de nombreux ultramarins, et qui, s'il vivait à Cayenne ou Fort-de-France, voterait le 10 pour mieux choisir ...