cosignée par Arlette Grosskost, Bérengère Poletti, Christine Marin, Françoise De Salvador, Françoise Hostalier, Geneviève Colot, Jacqueline Irles, Joëlle Ceccaldi-Raynaud, Laure de La Raudière, Marie-Christine Dalloz, Marie-Jo Zimmermann, Marie-Josée Roig, Marie-Louise Fort, Alain Cousin, Alain Moyne-Bressand, Alain Suguenot, André Wojciechowski, Arnaud Robinet, Bernard Brochand, Bernard Carayon, Bernard Depierre, Bernard Gérard, Bernard Perrut, Bernard Reynès, Charles de La Verpillière, Christian Ménard, Christian Vanneste, Claude Bodin, Damien Meslot, Daniel Fasquelle, Daniel Fidelin, Daniel Spagnou, Didier Gonzales, Didier Quentin, Dino Cinieri, Dominique Dord, Dominique Le Mèner, Fernand Siré, Francis Saint-Léger, Franck Gilard, Franck Marlin, Franck Riester, François Calvet, François Grosdidier, François-Michel Gonnot, Frédéric Reiss, Georges Mothron, Gérard Hamel, Gérard Menuel, Gérard Voisin, Gilles d'Ettore, Jacques Domergue, Jacques Kossowski, Jacques Remiller, Jean-Claude Beaulieu, Jean-Claude Mathis, Jean-François Chossy, Jean-Luc Reitzer, Jean-Marc Nesme, Jean-Michel Ferrand, Jean-Paul Anciaux, Jean-Pierre Decool, Jean-Pierre Marcon, Lionnel Luca, Louis Guédon, Lucien Degauchy, Marc Bernier, Marc Le Fur, Michel Grall, Michel Havard, Michel Herbillon, Michel Lejeune, Michel Sordi, Michel Terrot, Michel Voisin, Michel Zumkeller, Olivier Dassault, Patrice Calméjane, Patrick Labaune, Philippe Armand Martin, Philippe Briand, Philippe Gosselin, Philippe Goujon, Philippe Houillon, Pierre Lasbordes, Pierre Morel-A-L'Huissier, Rémi Delatte, Renaud Muselier, Richard Mallié, Sauveur Gandolfi-Scheit, Serge Poignant, Thierry Lazaro, Thierry Mariani & Yves Nicolin
Mesdames, Messieurs, Professeurs et parents d'élèves sont conscients de la montée des différends entre le corps professoral et certains élèves.
Ces difficultés sont à l'image d'une société en perte de repères où ses valeurs fondamentales ne sont pas respectées y compris dans le pilier de la République qu'est l'école, qui en outre est la première priorité nationale.
Il ne se passe pas une semaine sans que les médias rapportent une agression d'un élève envers un instituteur, d'un collégien envers un de ses professeurs.
Ces actes sont bien sûr répréhensibles via la voie pénale, mais les insultes et l'irrespect qu'ont les élèves à l'égard du personnel de l'éducation se banalisent à tel point que certains enseignants se résignent à sévir.
On peut se plaindre de ces inquiétantes déviances mais le code de l'éducation reste très évasif sur les obligations des élèves, n'y consacrant qu'un petit chapitre de 4 articles qui ne peuvent répondre aux...
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