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Interventions en hémicycle de Daniel Goldberg


900 interventions trouvées.

J'avoue que je ne comprends pas l'argument de Mme la secrétaire d'État selon lequel l'amendement introduirait une discrimination envers les femmes qui ne seraient pas étudiantes. Nous demandons simplement que des logements en cité universitaire, donc gérés par les centres régionaux des oeuvres universitaires, puissent être attribués à de jeunes...

Le pouvoir de contrôle du Parlement est entier, madame la secrétaire d'État. Cela vaut également si ces dispositions sont inscrites dans le plan triennal que vous venez d'évoquer. Nous sommes donc enclins à maintenir notre demande d'un rapport qui permettra au Parlement de jouer son rôle de contrôle. (L'amendement n° 48, tel qu'il vient d'être...

Qu'il faille un mariage civil préalablement au mariage religieux, nous en sommes tous d'accord. C'est la loi. Mais ce qui est proposé, c'est de durcir les sanctions à l'encontre de tout ministre du culte quel qu'il soit et de le punir, dès la première célébration, de six mois d'emprisonnement et de 7 500 euros d'amende. Nous changeons de regist...

Mais s'il s'agit de punir tout ministre du culte, quel qu'il soit, dès la première infraction relevée, je ne voterai pas cet amendement.

Monsieur le président, monsieur le secrétaire d'État, chers collègues, c'est un élu en colère qui intervient aujourd'hui devant vous, en colère car notre pays est un des plus riches de la planète, l'un de ceux dans lequel des fortunes importantes s'amassent, parfois avec la complicité des pouvoirs publics, comme c'est le cas, par exemple, avec ...

mais qu'il est pourtant incapable, sous votre conduite, de trouver une issue à une crise du logement qui s'amplifie et qui touche maintenant indistinctement les plus défavorisés comme les classes moyennes.

C'est un pays dans lequel des choix politiques, les vôtres, ont transformé le logement en un produit financier au lieu d'en faire l'outil d'une politique publique au service de l'ensemble de nos concitoyens. Chacun peut d'ailleurs en faire le constat, en supprimant chaque jour de sa boite mail les offres de défiscalisation que nous recevons, de...

Vous le savez, parmi les multiples difficultés sociales que l'on rencontre dans notre pays, la question du logement est l'une de celles qui crée le plus d'inégalités : 50 % des revenus des familles les plus modestes sont consacrés au logement, alors que la part de ce poste de dépenses est moitié moindre pour l'ensemble des foyers, et encore plu...

Il est intéressant, de ce point de vue, d'examiner le projet de loi intitulé « Grand Paris », qui traduit assez bien la politique menée par votre gouvernement et la manière dont celle-ci est soutenue par votre majorité et tant vantée par Valérie Pécresse, candidate aux élections régionales. Pourquoi donc ? C'est que les choix induits par ce pro...

l'emportera sur tout objectif de construction de logements sociaux, non seulement vous ne répondez en rien à la crise du logement dans notre région, mais vous risquez même de l'aggraver. (Applaudissements sur divers bancs du groupe SRC.) Au lieu, une fois de plus, de partir des besoins de la population, de mettre en place des dispositifs d'e...

Trois types de besoin ressortent de l'ensemble des dossiers déposés. Il s'agit tout d'abord d'un besoin de logements de grande taille. Les ménages de plus de trois enfants représentent environ 13% des ménages éligibles. Cette proportion est deux fois plus élevée que la part de ces ménages dans l'ensemble de l'Île-de-France. Cela nous amène au...

Un deuxième besoin est évidemment le besoin de logements à faibles loyers. Parmi les ménages éligibles, 71 % perçoivent des allocations et plus de 19 % sont bénéficiaires du RMI. Nous en revenons donc à la nécessité de logements accessibles au plus grand nombre. Or les prêts locatifs sociaux nous en avons discuté par le passé et nous en redis...

Cela aurait pu être évoqué au cours du débat sur les collectivités territoriales qui a précédé celui-ci. Pourquoi ne vous engageriez-vous pas, monsieur le secrétaire d'État, à ce que ce soit votre ministère qui finance, de ce point de vue, les permanences de l'ADIL l'agence départementale d'information sur le logement ?

Les décisions de la commission sont parfois pas forcément en Seine-Saint-Denis orientées en fonction du nombre de logements potentiellement disponibles sur le contingent préfectoral, plutôt qu'en fonction des besoins. Je ne reviendrai pas sur la nécessité de réorienter la construction de logements sociaux, que j'ai déjà longuement évoquée....

Voilà le constat que nous dressons aujourd'hui et une partie des propositions que nous mettons en avant. Elles sont largement soutenues par l'ensemble des acteurs du logement social et, je n'en doute pas, monsieur le secrétaire d'État, elles le seront tout autant par nos concitoyens lors des prochaines échéances électorales, les 14 et 21 mars p...

Monsieur le ministre, comme vous le pouvez le constater, de nombreux élus de Seine-Saint-Denis et des quartiers populaires plus généralement, interviennent dans ce débat, tant les attentes sont nombreuses et tant est profond le sentiment de sérieux qui nous anime, les uns et les autres, pour aborder ce sujet. Je formulerai plusieurs remarques....

Nous devons cesser les coups de menton, les gesticulations. Tenons-nous en là. Nos quartiers n'en peuvent plus d'être montrés du doigt. Cela exacerbe les tensions et ne règle rien sur la durée. Il ne faut pas jouer avec une question qui fait souffrir trop d'habitants dans nos villes. La deuxième remarque que je voulais formuler est qu'il peut ...

Pour que ce consensus républicain soit possible et existe vraiment, il faut que la responsabilité soit effective et le respect de la parole donnée soit au rendez-vous. Pour cela, il ne sert à rien d'asséner, notamment au sein des réunions de conseils locaux de sécurité et de prévention de la délinquance, des informations selon lesquelles les c...

Indépendamment de l'utilité ou non, nous sommes dans une situation que je qualifierai du « tout vidéosurveillance », et non pas de la vidéosurveillance. Il s'agit pour l'État d'une sécurité low cost.