Découvrez vos députés de la 14ème législature !

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de Wikipedia

Interventions de Christian JacobLes derniers commentaires sur Christian Jacob en RSS


3464 interventions trouvées.

a accueilli les représentants de Gaz de France en rappelant le travail de fond entrepris par la Délégation sur le Grenelle de l'environnement. Quelle est la position de GDF sur les exigences nées du débat public lancé dans le cadre de ce processus ? Quelles sont les perspectives ouvertes par l'innovation ? Dans le secteur automobile notamment, ...

a souhaité savoir si le bilan carbone, qui servira de base à une éventuelle taxe carbone ou à l'étiquetage des produits, devait intégrer les consommations d'énergie primaires ou secondaires. Ce bilan doit-il, par exemple dans le cas de l'étiquetage d'une boîte de camembert, se contenter d'intégrer les émissions de CO2liées au transport des marc...

a rappelé que l'habitat représentait 40 % de la consommation énergétique en Europe. Il a demandé si les critères mis en avant par la démarche HQE pouvaient constituer un socle de départ pour avancer en matière de normes sur le neuf, notamment dans le cadre de la préparation de directives européennes sur les normes de construction.

a estimé qu'il fallait bien partir de quelque chose pour avancer. Il s'est déclaré réservé sur toute taxation contraignante, qui serait intégrée dans le coût de production et systématiquement répercutée dans le prix et conduirait in fine à de l'inflation. En revanche, la création d'un crédit d'impôt peut permettre la création d'emplois.

a rappelé le contenu de sa question introductive sur le secteur des transports. Actuellement, le crédit d'impôt en faveur des véhicules propres renvoie à certaines filières (voitures électriques, GPL par exemple). L'objectif poursuivi est cependant de promouvoir un faible niveau d'émissions de CO2, quel que soit le processus ou le type de motor...

a demandé des précisions sur les investissements nécessaires au développement du trafic fluvial, au-delà des reports rendus possibles par une réorganisation des différents acteurs du fret. A quoi correspondent notamment les 100 millions d'euros supplémentaires d'investissement évoqués ?

a demandé quel était le plan d'investissements prévu pour atteindre un doublement du trafic à l'horizon 2025.

a souligné la nécessité d'investissements à moyen et long terme dans le transport fluvial.

a souhaité la bienvenue à M. Olivier Marembaud, directeur général délégué de Fret SNCF, et lui a demandé de faire le point sur la situation du fret SNCF et du fret ferroviaire en général.

a d'abord demandé quel serait, à infrastructures constantes, le pourcentage du fret qui, à échéance de cinq ou dix ans, pourrait basculer de la route au rail. Que pourrait être ce taux avec une modification adéquate des infrastructures ? En ce qui concerne les liaisons portuaires, pourquoi le port dit « de proximité » pour Lyon et Perpignan es...

a demandé si cela impliquait que l'on retire certaines affectations de sillons au transport des voyageurs.

a accueilli M. Patrice Parisé, directeur général des routes, en rappelant que son audition faisait suite à celles des présidents des six groupes de travail du Grenelle de l'environnement et qu'il était la première des personnalités que la Délégation avait souhaité entendre dans le domaine des voies de communication. Il lui a demandé quel regar...

a indiqué que le débat qui s'était instauré autour de la perspective d'un moratoire avait inquiété nombre de ses collègues. Même si tout le monde est conscient des limites de la route, des investissements restent nécessaires. La direction des routes considère-t-elle ce moratoire comme envisageable et économiquement possible ?

a demandé si la direction des routes s'était intéressée aux matériaux utilisés pour la construction des routes. Dans ce domaine en effet, la technologie avance rapidement.

en a conclu que si un système de taxation des poids lourds était mis en place, il ne concernerait que 13 % des émissions de gaz à effet de serre émises.

a résumé les interrogations de nombreux parlementaires : est-ce que le développement économique est compatible aujourd'hui avec le respect de l'environnement ? Tout le monde est sensible aux questions d'environnement. Pour autant, il n'est pas question d'entrer dans une logique de décroissance.

a indiqué que, dans le cadre des contrats d'itinéraires, le préfet était chargé de faire remonter les dossiers prioritaires. Il appartient alors au directeur des routes d'intervenir.