Déposé le 6 février 2010 par : M. Vanneste.
Après l'alinéa 10, insérer l'alinéa suivant :
« 8° L'élucidation des faits et l'identification des personnes les ayant commis. »
La vidéoprotection est souvent présentée comme une mesure de prévention. Cette limite de son intervention fait place à une critique. En effet, la délinquance peut se déplacer au-delà du champ des caméras faute d'en mettre partout et de ne pouvoir véritablement en assurer l'utilisation faute de personnels. Ainsi, il faut savoir qu'une même personne ne peut pas suivre utilement observer les images d'une caméra de vidéoprotection plus d'une demi-heure (à vérifier). En revanche, si la protection connait des lilmites la vidéoproretction est très performante pour élucider les faits et identifier leurs acteurs. L'abondance décisive de celle-ci en GB (4 millions contre 20 000 en F) a permis davantage d'élucider que d eprotéger. Ce n'est que par ricochet que la protection existe.
1 commentaire :
Le 08/02/2010 à 01:50, Zouze (citoyen) a dit :
C'est vrai que c'est quand même dingue que le seul intérêt éventuellement possible à la vidéosurveillance ne soit même pas dans la liste de ses objectifs. La résolution des affaires serait en effet probablement la seule chose à gagner dans le big brother moderne : les caméras n'empêchent rien puisque l'on ne peut pas mettre quelqu'un en permanence derrière chacune...
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