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Monsieur le secrétaire d'État, un tas de gens sont dans un état de souffrance inacceptable.
Essayez de vivre avec 600 ou 700 euros par mois ! Ni vous ni moi n'en serions capables. Il convient de répondre rapidement à cette situation d'urgence sociale.
Essayez de vivre avec 600 ou 700 euros par mois ! Ni vous ni moi n'en serions capables. Il convient de répondre rapidement à cette situation d'urgence sociale.
Aujourd'hui, vous aviez la chance de pouvoir vous saisir de notre texte afin d'apporter la réponse qui s'impose pour soulager la détresse de nos concitoyens.
Aujourd'hui, vous aviez la chance de pouvoir vous saisir de notre texte afin d'apporter la réponse qui s'impose pour soulager la détresse de nos concitoyens.
Vous nous dites d'attendre. Mais, comme soeur Anne, nous ne voyons rien venir. Vous êtes incapables de nous indiquer à quelle date le projet de loi sur la réforme du crédit à la consommation viendra en discussion devant notre assemblée. Peut-être au début de l'année 2010, dites-vous. Peut-être, à moins que d'ici là il faille légiférer pour auto...
Vous nous dites d'attendre. Mais, comme soeur Anne, nous ne voyons rien venir. Vous êtes incapables de nous indiquer à quelle date le projet de loi sur la réforme du crédit à la consommation viendra en discussion devant notre assemblée. Peut-être au début de l'année 2010, dites-vous. Peut-être, à moins que d'ici là il faille légiférer pour auto...
ou sur d'autres sujets de cette importance. Mes chers collègues, monsieur le secrétaire d'État, il est des situations d'urgence sociale qui n'attendent pas et je regrette que vous preniez la décision de ne pas répondre aux besoins de nos citoyens en situation précaire et que vous contribuiez, dans le même temps, à dévaloriser le rôle du Parle...
ou sur d'autres sujets de cette importance. Mes chers collègues, monsieur le secrétaire d'État, il est des situations d'urgence sociale qui n'attendent pas et je regrette que vous preniez la décision de ne pas répondre aux besoins de nos citoyens en situation précaire et que vous contribuiez, dans le même temps, à dévaloriser le rôle du Parle...
Quel malheur !
On n'est jamais trahi que par les siens !
Quelle honte !
Monsieur le secrétaire d'État, monsieur le rapporteur Le président de la commission n'est pas là et je le regrette, car il aurait été convenable, et utile, que M. Warsmann soit parmi nous ce soir. Monsieur Marleix, si vous avez pensé, pendant que je montais ces marches, que j'allais vous dire « Ave, Marleix, morituri te salutant », vous vous ...
De même, j'ai la faiblesse de croire que Vaclav Havel avait parfaitement raison quand il affirmait : « Il n'est de batailles perdues que celles que l'on ne livre pas. »
Soyez assuré que nous allons livrer bataille, et, comme l'a dit Marie-Jo Zimmermann, non pas une bataille pour des intérêts particuliers, mais la bataille de l'intérêt général, de la démocratie et du respect de la République.
Nous entrons en résistance, monsieur Marleix. Si vous croyez que nous allons accepter d'être crucifiés (Exclamations et rires sur les bancs du groupe UMP), d'être supprimés, que nous allons nous contenter de dire « Marleix m'a tuer », vous vous trompez, la bataille ne fait que commencer !
Votre projet de découpage est un déni de démocratie, un défi aux républicains sincères et aux valeurs de la République, dont je croyais qu'elles étaient partagées par tous dans cet hémicycle. Votre projet de découpage est inique. (Exclamations et rires sur les bancs du groupe UMP.)
En effet, pour que la gauche soit majoritaire en sièges, il faudra qu'elle obtienne au minimum 51,4 % des voix.
Cela prouve que l'on pourra être majoritaire en voix et minoritaire en sièges, ce qui, convenez-en, n'est pas la règle de vie démocratique que l'on souhaiterait partager.
C'est un découpage sectaire, partisan et je dirai même cynique.