7969 interventions trouvées.
Tant mieux, mais je crains que cela ne dure pas ! Si les salariés ne sont pas sages et ne parviennent pas à un accord avant le 1er janvier 2008, le père fouettard Bertrand va sévir, en effet, et il y aura un décret.
Or, monsieur le ministre, vous n'êtes pas en mesure de nous fournir la première mouture de ce texte. Le chantage au décret n'est pas une façon de conduire le dialogue social. Si vos conditions ne sont pas acceptées, vous les imposez. C'est tout le contraire d'un véritable dialogue social. Aujourd'hui, il pourrait y avoir un véritable dialogue ...
C'est le bon sens !
Mais ce qu'il dit est intéressant !
Il faut arrêter de s'autoflageller !
Et sur le même motif ?
Monsieur le ministre, avec l'article 4, nous sommes effectivement au coeur du sujet ! En le lisant avec attention, nous nous apercevons qu'il est d'une imprécision telle qu'il laisse la porte ouverte à toutes les manipulations. En outre, et c'est grave car je pensais que nous travaillions dans un esprit de concertation, mot que vous utilisez...
Nul n'ignore en effet combien les conditions climatiques peuvent changer très rapidement. Or, face aux risques d'accidents, la politique adoptée ces dernières années est la politique du parapluie !
On s'aperçoit surtout que les administrations ont l'habitude d'ouvrir le parapluie et de laisser les intempéries tomber sur la figure des collectivités locales ! Comment expliquerez-vous à une famille vivant dans une zone de montage ou même de demi-montagne que son enfant peut être transporté, qu'il a le droit d'aller à l'école, alors que celu...
vous voulez disqualifier la grève dans l'esprit de nos compatriotes !
Or, que vous le vouliez ou non, la grève est une conquête sociale importante des travailleurs !
Votre texte met en place un plan de régression sociale. (« Holà ! » sur les bancs du groupe de l'Union pour un mouvement populaire. - « Très bien ! » sur plusieurs bancs du groupe socialiste, radical, citoyen et divers gauche.)
En outre, nous ne devrions pas débattre des problèmes de transport ce soir puisque, une fois de plus, la place de M. le secrétaire d'État aux transports est vacante. Nous comprenons fort bien qu'il ait dû se rendre à la commémoration du vingt-cinquième anniversaire d'un drame, mais j'espère que, à cette heure tardive, il est rentré de sa visite...
Ce n'est pas un texte, c'est un prétexte dans un mauvais contexte !
C'est dommage !
Ils n'ont reculé devant rien !
Sans succès jusqu'à présent !
Mais où est donc M. Bussereau ?
Nous voilà rassurés !