Interventions d'Alain Claeys

Pour résumer, l'intérêt des pôles est de rapprocher la recherche académique et la recherche-développement. Pour vous, c'est un acquis.

Au vu de l'audit, quelles priorités doit-on donner aux pôles pour qu'ils s'améliorent et se renforcent ?

Comment l'ANR peut-elle y aider ?

Que vous inspire le fait que, en termes de financement, la recherche fondamentale ait progressivement pris le pas sur la recherche industrielle ?

La part de la recherche industrielle a diminué.

L'ANR participe-t-elle au financement de plateformes d'innovation ?

Selon vous, le dispositif des pôles présente-t-il des fragilités ? Est-il trop complexe ?

L'agence d'évaluation de la recherche et de l'enseignement supérieur participe-t-elle à l'évaluation des pôles ?

Dans combien de pôles le CNRS intervient-il aujourd'hui ? Et dans combien de conseils d'administration est-il présent ?

À quoi servent-ils, selon vous ?

Le crédit d'impôt recherche vous paraît-il utilisé de manière satisfaisante ?

C'est également ce qui nous a été indiqué par d'autres. Certains pôles sont ainsi de simples réceptacles, sans réalité locale.

Qu'en est-il des projets européens ?

De son côté, l'ANR finance-t-elle des projets impliquant d'autres pays européens ?

Pour en revenir aux crédits européens, faut-il comprendre qu'ils vont ailleurs qu'en France ?

Que faut-il faire ? Doit-on simplifier les procédures européennes ? N'y a-t-il pas un problème franco-français ?

La création des pôles de compétitivité permet-elle d'améliorer cette situation ?

Que pensez-vous du fonctionnement de l'ANR ?

À propos de financement, à combien s'élève votre préciput ?

J'en reviens à l'ANR. Si l'on finance essentiellement la recherche par l'intermédiaire des projets, n'assèche-t-on pas les structures qui les portent ?