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Des heures et des heures. Pour rien !
Très bien.
Excellent.
Très bien.
Comme un orateur l'a excellemment dit, lorsqu'on fixe un numerus clausus, il faut le faire en évaluant de la façon la plus précise les besoins d'un territoire. Il ne s'agit donc pas de « tenir compte » de ces besoins mais bien d'arrêter le numerus clausus « en fonction » de ces besoins. J'ai beaucoup entendu parler de coercition. Tenir compte,...
Cet amendement, comme le précédent, j'aurais dû le rappeler, a reçu, une fois n'est pas coutume, un avis favorable de la commission, madame la secrétaire d'État. J'avais proposé que les stages pratiques soient réalisés pendant une année et cet amendement a pour but de bien labelliser les types d'établissement dans lesquels ces stages pratiques...
Je me sens un peu seul.
Cet amendement revient sur le problème de l'internat classant national. Comme l'a rappelé très justement Claude Leteurtre, cette idée d'internat régional a été repoussée, à une voix près, il y a deux ans dans cet hémicycle je crois que le vote était onze pour, onze contre, avec la voix du président qui était déterminante. Ce concours région...
M. Lefrand, c'est formidable, m'a donné un élément de réponse extraordinaire. Auparavant, on choisissait trois régions dans lesquelles on se présentait au concours d'internat. Il vient de nous expliquer, et j'ai des exemples jusque dans ma famille, ma propre fille pour la citer, que des jeunes choisissent telle spécialité plutôt qu'une autre pa...
Lorsque j'ai rencontré les internes pour leur présenter le texte, j'ai bien senti que cela leur posait un problème. On leur demande de travailler trois ans dans la région dans laquelle ils sont formés, mais ils ne veulent pas que l'on change la règle du jeu en cours de route. C'est la raison pour laquelle cet amendement précise que l'obligation...
Cet amendement vise à rétablir le dispositif d'autorisation de l'ARS, le conventionnement étant refusé dans les zones surdenses. Regardez vos régions, mes chers collègues, y compris cette très belle région de Normandie, monsieur Lefrand, dans laquelle la tête d'épingle se vérifie quasiment partout.
C'est le même amendement, pour les chirurgiens dentistes. Nous n'en avons parlé que brièvement. La désertification est pire que pour les médecins.
Quand vous allez de Chartres à Orléans, soixante-dix-huit kilomètres, il n'y a pas un dentiste. (L'amendement n° 10 rectifié, repoussé par le Gouvernement, n'est pas adopté.)
C'est la même chose pour les sages-femmes. (L'amendement n° 11, repoussé par le Gouvernement, n'est pas adopté.)
Il y a eu une démarche très active des infirmiers et j'espère que ce seront les pionniers puisque, par voie de conventionnement, ils veulent réguler l'installation. Je leur dis bravo. Je ne suis pas persuadé qu'on arrive au même résultat pour toutes les spécialités médicales.
Je le retire. (L'amendement n° 12 est retiré.)
Je le retire également parce que la voie du conventionnement est en cours pour les masseurs-kinésithérapeutes. (L'amendement n° 13 est retiré.)
Cet amendement n'a plus de sens dans la mesure où les autres n'ont pas été votés. Je le retire. (L'amendement n° 14 est retiré.)
Je pense qu'à un moment ou à un autre, il faudra faire évoluer les possibilités offertes à un certain nombre des professions de santé. Sinon, les difficultés s'accroîtront. Cet amendement, que j'ai déposé avec ma collègue Bérengère Poletti, offre aux agences régionales de santé situées dans une région connaissant un taux élevé de recours à l'I...
Dans la loi Fourcade, on avait fait adopter un tel dispositif. En tout cas, je maintiens cet amendement et je propose qu'il soit adopté. (L'amendement n° 4 n'est pas adopté.)