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Chacun sait que l'interopérabilité est essentielle. Nos moyens aériens sont-ils bien interopérables en Afghanistan ? Peuvent-ils apporter un appui efficace à nos troupes au sol comme à l'ensemble des troupes de la coalition, alors que notre armée n'est pas encore dotée du système Rover ? Par ailleurs, je m'interroge sur la pertinence de continuer à faire voler des officiers qui ne sont plus opérationnels, alors que les pilotes susceptibles d'être en opération disposent en moyenne d'un volant de 180 heures pour s'entraîner. Général Jean-Paul Paloméros, chef d'état-major de l'armée de l'air. Il a fallu beaucoup d'énergie et de force de conviction pour harmoniser les équipements. Par expérience, je crois à l'approche interarmées, qui dégage des sy...
La France n'est pas le seul pays concerné par les retards de l'A400M. Des solutions palliatives collectives, notamment communautaires, et partant moins onéreuses, sont-elles envisageables ? Dans le Livre blanc, il est prévu de confier à l'armée de l'air une responsabilité éminente en matière spatiale, sous l'autorité d'un commandement placé auprès du chef d'état-major des armées. Quelles en sont les implications ? Général Stéphane Abrial, chef d'état-major de l'armée de l'air. Je rappelle que je n'ai plus la maîtrise de ces ...