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... militaire étant désormais public et soumis à l'autorisation de ratification du Parlement ; le refus de faire intervenir des troupes françaises pour régler des problèmes intérieurs, la seule exception étant constituée par les opérations sous mandat d'organes internationaux comme l'ONU, l'Union africaine ou l'Union européenne ; l'intégration de nos partenariats de défense dans le cadre de la force africaine en attente, en cours de constitution, qui doit permettre à l'Union africaine de disposer d'une force d'intervention et de stabilisation en cas de crise sur le continent africain. Cette force est prévue par l'article 5-2 du traité instituant l'Union africaine. En application de la doctrine exposée par le Président de la République, la politique de défense de la France en Afrique repose désormais sur trois p...
Les différentes composantes de la Force africaine en attente devraient être organisées et gérées à l'échelle des organisations économiques régionales, notamment la CEDEAO, la Communauté sud-africaine de développement, la Communauté économique et monétaire de l'Afrique centrale. L'effectif de chaque composante devrait avoisiner 6 000 personnes. Un certain nombre de militaires ont été formés en France et sont retournés sur place. Le niveau de la formation m...