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a indiqué qu'elle a fait partie du conseil national des programmes qui a travaillé jusqu'en 2005, et, en son sein, a essayé de faire en sorte que l'on parle plus des femmes dans les programmes d'histoire. Le résultat a été limité en raison de la multiplicité des problèmes à régler. Cela étant, quand étaient examinées les statistiques de l'enseignement professionnel, on s'apercevait alors que l'orientation était très sexuée, avec des filles majoritairement en BTS...
...ersonnes au sein duquel de nombreux professeurs d'histoire. Il y a trois ans, « Les femmes dans l'histoire » a été le thème de ce rendez-vous. L'an prochain, il portera sur les Européens. Il faudra qu'au moins une table ronde porte sur l'Europe et les femmes : qu'est-ce que l'Europe a apporté aux femmes ? Qu'est-ce que les femmes représentent dans l'Europe ? Des bilans ont été réalisés sur les programmes du secondaire. Mme Denise Guillaume a publié, en 1999, une étude sur la place des femmes dans les manuels scolaires. Claude et Françoise Lelièvre sont également spécialisées sur ces questions et ont réalisé des travaux intéressants. Il y a environ quatre ans, Annette Wieviorka, a rédigé un rapport du Conseil économique et social sur la place des femmes dans l'histoire enseignée, qui est le meille...
a répondu que la production de livres est abondante en France mais que l'enseignement universitaire est plus dynamique en Allemagne. Il est difficile de comparer les programmes du secondaire car l'histoire n'a pas la même place dans les différents pays. En Italie, les études menées à l'université ont été également très dynamiques mais le système universitaire connaît de grandes difficultés aujourd'hui. En résumé, la France se situe dans une bonne position pour la recherche et dans une position moyenne en ce qui concerne les enseignements universitaires.