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a observé que la réforme de l'organisation commune du marché viticole hésite entre libéralisation et régulation. Son efficacité mérite d'être saluée, elle ne consomme que 3% du budget pour 7% de la valeur ajoutée agricole. Toutefois, dans la mesure où la France représente à elle seule environ la moitié du vignoble mondial, il serait tout à fait malvenu qu'elle se voit corsetée de règles malthusiennes, lesquelles n'aboutiraient jamais qu'à l'invasion du marché par ses concurrents. L'évolution de la position de la Commission européenne n'est pas négligeable, notamment le passage de l'objectif d'arrachage de quatre c...