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Or la nouvelle gouvernance et le rôle parfois hégémonique conféré aux présidents d'université nous paraissent accroître les risques de politisation, de marchandisation ou de localisme.
...tamment avec Yves Jego et quelques autres, nous paraissaient décisifs. Je n'ai pas voulu ici défendre un ordre ancien, trop souvent immobile, et dont j'ai souvent été l'un des critiques les plus virulents. J'ai voulu indiquer que je refuse de voir altérer ce qui participe de l'honneur du métier d'universitaire : son indépendance et son jugement par ses pairs. Je vous fais confiance pour concilier gouvernance moderne et efficacité de la gestion dans le respect d'un certain nombre d'habitudes, qui ne sont pas toujours mauvaises. Les prochaines étapes démontreront sans nul doute que nous avons raison d'espérer ! (Applaudissements sur les bancs du groupe de l'Union pour un mouvement populaire.)