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Nous sommes le 14 mai. Hier, c'était le cinquante-et-unième anniversaire d'un coup d'État. Eh oui ! Et dans des circonstances aussi gravissimes, que le temps de parole soit de trente minute ou d'une heure, c'est tout aussi grotesque quand il y va de la préservation de la démocratie notre histoire l'a démontré. Je ne suis pas plus enthousiasmé par une heure que par trente minutes. Monsieur Karoutchi, vous me regardez avec des yeux éberlués
...faire entrer dans des normes ! Le fait, chers collègues, que la même question revienne plusieurs fois, prouve d'abord qu'il s'agit d'une question importante pour l'ensemble des groupes. En outre, elle n'est pas nécessairement posée de la même manière et, de toute façon, pas avec les mêmes arguments. Il revient au ministre, surtout avec la brièveté du temps de parole qui prévaut maintenant deux minutes de prévoir, grâce à la multiplication des questions, différentes possibilités de réponse afin de fournir, au final, une réponse complète. On ne peut pas, comme le disait Jean-Marc Ayrault, à vingt-trois heures, quasiment par surprise, changer ces règles, ce qui ne serait pas compris par nos concitoyens. Pour le coup, le statu quo est sans doute la meilleure solution. Je proposerai à notre col...