3 interventions trouvées.
De deux choses l'une : ou il n'a pas lu le traité de Lisbonne et ce serait grave , ou il l'a lu et il leur a menti !
... de la Banque centrale européenne. Tout le monde s'accorde à dire, y compris ceux qui sont pour le oui, y compris le rapporteur, le président de la commission et le ministre, qu'il faut changer la nature des relations avec la Banque centrale européenne, parce que cela ne peut pas fonctionner ainsi. Le rapporteur, dans son honnêteté intellectuelle, est même allé jusqu'à dire qu'il espérait que ce traité de Lisbonne le permettrait. Pour l'instant, nous savons que c'est impossible.
N'est-ce pas Valéry Giscard d'Estaing, père du précédent traité, et donc ayant légitimité pour en parler, qui a admis sans ambiguïté, dans la même ligne de raisonnement : « dans le traité de Lisbonne, rédigé exclusivement à partir du projet de traité constitutionnel, les outils sont exactement les mêmes » ? N'est-ce pas ce même Valéry Giscard d'Estaing qui soulignait, le 17 juillet 2007, devant le Parlement européen, que les modifications apportées étaient « purement cosmétiques ». « En termes de contenu je le cite les propositions demeurent largement inchangées. Elles sont juste présent...