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En tant que membre de la mission, ayant participé à ses déplacements en République démocratique du Congo et en Tunisie, j'approuve le contenu de ce rapport. La France est un acteur important de l'aide au développement mais quid de son influence ? C'est un euphémisme de dire que la lisibilité de notre action bilatérale n'est pas excellente. Dans certains cas, les sommes ainsi versées le sont presque de façon mécanique, ce qui est à la limite de l'acceptable. Quel contraste avec la stratégie développée par la Chine, dont l'ambassadeur nous a dit tout de go que la « visibilité immédiate » de l'aide bilatérale était tout ce qui importait à son pays. Le soutien à la francophonie est essentiel ; lors des auditions ...
Je félicite à mon tour Mme Henriette Martinez en y associant son assistante. L'aide publique au développement doit s'orienter en priorité vers l'éducation et la santé, ce qui génère des améliorations dans les autres domaines. Je suis partisan de privilégier les aides bilatérales par des actions ciblées, au plus près d'une expression concrète sur le terrain. Il faut développer le partenariat avec les entreprises. En effet, leurs responsables ont conscience des nécessités d'action sur le terrain pour assurer une valorisation et une plus-value. Il faut développer le partenariat avec les ONG, en coordonnant ces actions avec les engagements de la France. Vous faites des pro...