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Interventions sur "dette" de Jean-Marie Le Guen


5 interventions trouvées.

...ticle 2 est l'un des plus douloureux de ce projet de loi. Certes, il ne coûte pas d'argent à nos concitoyens et ne les prive pas de droits en tout cas pour le moment, car, en votant cet article, nous allons priver de droits les générations futures, auxquelles nous enlevons des parts de la richesse qu'elles auront créées pour payer leur propre protection sociale. Nous allons donc consacrer cette dette pour 2006 : on voit bien comment le Gouvernement essaie de s'exonérer de cette responsabilité. Commençons un bref rappel historique des résultats financiers de la sécurité sociale. Il est vrai que, entre 1998 et 2001, ces résultats ont été bénéficiaires et positifs. Dès votre arrivée en 2002, vous vous alignez sur les revendications corporatistes et annoncez que vous allez remettre en cause tous...

Parler d'erreur matérielle à propos du passage de plusieurs milliards d'euros en dettes sociales Avouez plutôt, mes chers collègues, qu'il s'agit des conséquences indiscutables d'une réforme. Vous me permettrez donc, madame la présidente, d'intervenir sur cet amendement et de répondre aux propos du ministre. Vous avez parlé, monsieur le ministre, de la nécessité de maîtriser les dépenses, d'agir sur les dépenses et pas simplement sur les recettes. C'est également, croyez-le bien,...

C'est le droit des parlementaires de savoir ce qui va advenir de la dette de 2007, car nous sommes tous comptables des finances publiques.

Je n'ai ni lu ni entendu que cette dette serait récupérable par les excédents de 2008, de 2009, de 2010, de 2011 ou 2012, car aucun excédent n'est en vue en tout cas, vous n'y faites pas référence. La dette de 2007 n'est donc pas récupérable, et si j'étais méchant, j'ajouterai : pas davantage celle de 2008, ni celle de 2009, ni celle de 2010, ni celle de 2011 ni celle de 2012 En tout état de cause, vous devez nous répondre. Tous les ...

... moins qu'on puisse dire ! que, sur de tels sujets, la ministre de la santé soit absente. Par ailleurs, quoi que vous puissiez dire, chers collègues de la majorité, dès lors que la trésorerie est aussi déficitaire, il est du devoir de l'opposition mais aussi, dans l'absolu, du vôtre, et du reste le rapporteur l'a fait , de demander comment ce déficit va être financé. S'il est transféré à la dette sociale, ou si l'État paye, qu'on le dise !