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...itiques ne doit pas être payée par les entreprises. Nous devons tout faire afin qu'elles ne se trouvent pas dans des difficultés majeures, et obligées de licencier. L'objectif de production d'énergies alternatives est incontournable, et il doit être atteint de façon décentralisée, pas avec un système de revente à un opérateur central. Mais nous devons viser en même temps des objectifs de filière industrielle et de création d'emplois, sans oublier notre balance commerciale qui est bien loin de celle de nos voisins immédiats. Je souscris aux propos de Philippe Tourtelier : il faut prendre des mesures de préservation immédiate et interpeller les ministres rapidement afin de stabiliser le système. Nous devons aussi parvenir à un consensus politique : il ne faudrait pas tout remettre en cause à la proc...
...itiques ne doit pas être payée par les entreprises. Nous devons tout faire afin qu'elles ne se trouvent pas dans des difficultés majeures, et obligées de licencier. L'objectif de production d'énergies alternatives est incontournable, et il doit être atteint de façon décentralisée, pas avec un système de revente à un opérateur central. Mais nous devons viser en même temps des objectifs de filière industrielle et de création d'emplois, sans oublier notre balance commerciale qui est bien loin de celle de nos voisins immédiats. Je souscris aux propos de Philippe Tourtelier : il faut prendre des mesures de préservation immédiate et interpeller les ministres rapidement afin de stabiliser le système. Nous devons aussi parvenir à un consensus politique : il ne faudrait pas tout remettre en cause à la proc...
...territoriales qui financent, au moins à parité avec l'État, la recherche dans le photovoltaïque, à des niveaux considérables plus de 45 millions d'euros pour l'Institut national de l'énergie solaire, l'INES. Or elles n'ont pas vocation à subventionner indéfiniment, sans aucun retour sur investissement puisqu'il n'y a plus de taxe professionnelle. Enfin, je pense que nous devons auditionner les industriels de la filière si nous voulons comprendre pourquoi ils ne parviennent pas à avancer et ce qu'ils attendent de nous. Un modèle économique ne peut pas se fonder sur la mise à contribution du consommateur.
...territoriales qui financent, au moins à parité avec l'État, la recherche dans le photovoltaïque, à des niveaux considérables plus de 45 millions d'euros pour l'Institut national de l'énergie solaire, l'INES. Or elles n'ont pas vocation à subventionner indéfiniment, sans aucun retour sur investissement puisqu'il n'y a plus de taxe professionnelle. Enfin, je pense que nous devons auditionner les industriels de la filière si nous voulons comprendre pourquoi ils ne parviennent pas à avancer et ce qu'ils attendent de nous. Un modèle économique ne peut pas se fonder sur la mise à contribution du consommateur.
... foutue ». Mais nous ne nous satisfaisons pas de la situation actuelle. Vous avez mis en cause les 35 heures : c'est un peu facile ! Il aurait fallu rappeler que, durant de nombreuses années, la France a engrangé les gains de productivité, y compris dans les secteurs les plus performants. Vous réduisez toujours la compétitivité au coût salarial, mais la compétitivité, c'est aussi l'organisation industrielle, la capacité à entrer sur de nouveaux marchés, à lancer de nouveaux produits, à vendre à l'étranger ! Votre acception est quelque peu réductrice, et c'est d'ailleurs ce qui explique la dégradation de notre balance commerciale depuis 2002 : celle-ci n'est pas imputable, contrairement à ce qu'a prétendu le Président de la République, à la valeur de l'euro, puisque l'Allemagne, avec la même monnai...