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... moins quatre échecs. C'est d'abord l'échec de vos prévisions. À vous entendre, en 2009, nous étions déjà en sortie de crise et, à la fin de 2010, la crise était quasiment finie. Or, aujourd'hui, se vérifie ce que de très nombreux économistes avaient alors déclaré. Non seulement, disaient-ils, nous ne sommes pas en sortie de crise, mais nous n'avons pas vu le pire. C'est ensuite un échec sur la Grèce. S'il faut un deuxième plan d'aide, c'est que le premier a échoué. Et le second risque de ressembler au premier car vous ne proposez pas tant d'aider la Grèce que d'aider les banques, ce qui est pour le moins une confusion dangereuse. Il y a aussi échec de la relance économique. Les résultats parlent d'eux-mêmes : repli de la croissance, augmentation du chômage, baisse du pouvoir d'achat du plus...