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La présence d'un seul des représentants des collectivités territoriales membres du conseil consultatif au sein du conseil de surveillance n'ayant pas de sens quelle serait sa légitimité ? , mes amendements nos 322, 323 et 324 proposent respectivement d'y faire siéger dix, neuf ou huit de ces représentants : dix parce que c'est un compte rond ; neuf parce qu'il y a neuf grands projets de développement et pôles de développement économique prévus par le Gouvernement ; huit parce que la région Île-de-France compte huit départements....
et dirai simplement la chose suivante : vous venez de voter, chers collègues, le principe selon lequel des parlementaires peuvent siéger dans le conseil de surveillance.
Il est vrai, madame Lepetit, que vous n'avez pas voté cette disposition, mais, de toute façon, vous ne votez quasiment rien. Peu importe donc ! Il s'agit tout simplement de permettre, dans un conseil de surveillance, que la limite d'âge soit dépassée et de pouvoir éventuellement choisir un maire
La limite d'âge ou l'incompatibilité avec un autre mandat sont des problèmes absurdes lorsque l'on parle de l'aménagement de notre région. Enfin, ce sera ma dernière remarque, on ne parle pas ici du directeur général : si cela était le cas, on se retrouverait dans le cadre habituel des sociétés. Et il s'agit d'un conseil de surveillance, et non d'un conseil d'administration. Qui plus est, vous nous avez expliqué que celui-ci n'avait strictement aucun pouvoir et qu'il ne servait à rien ! Je ne vois donc pas en quoi cela vous gêne