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Monsieur le directeur général, j'ai moi aussi le souvenir de votre entrée en fanfare sur le marché des télécoms et je ne me rappelle pas de mots extrêmement tendres de la part de Martin Bouygues à l'égard des deux opérateurs « historiques » du mobile. La tendresse n'était pas au rendez-vous ! D'autres semblent s'être inspirés de la jurisprudence que vous avez créée. Quelles sont les synergies de Bouygues Télécom avec les autres activités du groupe ? Bien qu'opérateur plus modeste, il est le seul, en effe...
...bsence de risque de saturation, pourquoi s'orienter vers le déploiement de quatre fibres ? Cela paraît absurde au moment où l'on cherche plutôt à développer les réseaux qu'à concentrer au même endroit un nombre croissant de fibres. Dans ces conditions, l'ARCEP se positionne non seulement comme un gendarme et un régulateur, mais aussi comme le garant des grands objectifs fixés dans le domaine des télécommunications. Le fait d'avoir fixé un cadre à un moment donné ne doit pas empêcher de le faire évoluer si l'on constate quelques dérives, pour ne pas dire quelques déviances.
...e s'écroule, chacun paye plus cher ; nous en avons d'autres exemples. Quel regard l'opérateur principal en France porte-t-il sur l'évolution du modèle ? Les actuelles annonces très alléchantes ne portent-elles pas le risque d'une mauvaise surprise future ? Demain, à l'initiative du groupe UMP, et plus particulièrement de M. Christian Estrosi, se tient un débat sur « Fabriquer en France ». France Télécom Orange, entreprise dont une part significative du capital est encore détenue par l'État, donne-t-elle l'exemple en termes de choix de ses fournisseurs, équipementiers et autres sous-traitants fabriquant en France ? Quel regard portez-vous sur la capacité des antennes relais sur lesquelles j'ai travaillé ? Ce secteur d'activité est-il en passe de pacification ? Pensez-vous, au contraire, que ta...
...lation, nous sommes passés d'une régulation asymétrique, consistant en quelque sorte à « punir » le gros opérateur historique pour faire de la place aux nouveaux entrants sur le marché, à une régulation symétrique, ce dont je me réjouis. Toutefois, l'idée initiale est bien de supprimer le régulateur une fois le marché mature, ce qui peut toutefois constituer un sujet de discussion. En matière de télécommunications, le maître mot est la convergence. C'est pouvoir un jour, c'est-à-dire aujourd'hui, proposer l'ensemble des services disponibles sur des supports différents, qu'ils soient fixes, mobiles, qu'il s'agisse de tuyaux ou de voie hertzienne. Or, on constate que les opérateurs se sont positionnés sur plusieurs supports, Bouygues par exemple sur le téléphone et la télévision, Orange également,...