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a fait part de son inquiétude face à la multiplication des technologies capables de rassembler et de stocker des données sur les personnes et leur environnement. Il a également soulevé le problème des implants qui, certes, ont des applications thérapeutiques, mais qui peuvent également aboutir à « télécommander » les personnes et à inhiber leurs réactions. Il a plaidé pour une réflexion en amont du développement de ces techniques pour circonscrire leur utilisation. ...
a formulé deux observations sur - l'utilisation par les rapporteurs du terme « biocarburant », en rappelant que le Sénat, lors de l'examen en première lecture du projet de loi de programme relative à la mise en oeuvre du Grenelle de l'environnement, avait retenu le mot « agrocarburant » ; - le stockage de l'énergie, en signalant que cette technologie comportait encore des aspects relevant de la recherche fondamentale puisque les pistes s'appuyant sur la supraconductivité demeuraient peu efficaces.
a indiqué que le champ des nanotechnologies recouvrait deux problématiques différentes, l'une liée à une approche « bottom up », l'autre relative à une démarche « top down », celle de la miniaturisation. Puis, il a posé une question sur les limites physiques de cette miniaturisation.
...ugmenté » avait été évoquée, eu égard aux progrès réalisés en matière d'implants nanométriques, lesquels pourraient être utilisés pour diriger des outils à distance. Après que M. Claude Birraux, député, premier vice-président, eut souligné l'intérêt de constituer un comité de pilotage pour assister la rapporteure, les conclusions de l'étude de faisabilité sur « les apports de la science et de la technologie à la compensation du handicap » ont été adoptées et l'Office a approuvé la préparation d'une étude devant aboutir à la rédaction d'un rapport sur ce sujet.