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...nication spécifique qui devait être effectuée auprès des consommateurs. Où en êtes-vous ? Quelle est votre position sur la possibilité pour des tiers d'incruster des contenus ou des services autour de vos programmes ? On suppose que les chaînes ne vont pas l'autoriser si cela entraîne une perte de ressources publicitaires. Avec cette rencontre de l'univers de la télévision, qui est régulé, et d'internet, qui ne l'est pas, comment assurer notamment la protection de l'enfance ? En effet, alors qu'une signalétique existe pour les chaînes de télévision, les enfants pourront avoir accès à des contenus internet sur leur téléviseur. Où en est votre réflexion avec le CSA ?
Je souhaiterais poser deux questions aux éditeurs et bibliothécaires ainsi qu'aux libraires. S'agissant des premiers, Internet est la plus grande révolution qui concerne la profession et la numérisation va entraîner des investissements, notamment en recherche et développement, considérables pour le fonds numérique. Quelles sont les actions entreprises en la matière et qui, in fine, va supporter les coûts ? En ce qui concerne les bibliothécaires et les libraires, c'est une question très sensible car il y a l'enjeu de l'a...
...permet de jouer le rôle d'un « grossiste » en information à l'usage des entreprises, et non du grand public. Vous nous avez dit en introduction que vous étiez un président faible, permettez-moi d'en douter. Comment comptez-vous vous battre dans la concurrence internationale qui vous oppose à AP ou Reuters ? Par ailleurs, vous nous avez indiqué souhaiter être présent sur l'Ipad, les smartphones, internet, Facebook et Twitter. Cette offre pourrait être en partie gratuite et en partie payante. Vous allez sans doute vous heurter à des résistances, et le président du Syndicat de la presse quotidienne nationale s'est dit déterminé à faire en sorte que vous fassiez machine arrière. Il a en effet estimé qu'exercer des missions de service public, pour lesquelles vous percevez des financements publics, n'...
...difficultés techniques, dénoncées à juste titre par notre groupe. Nous avons bien du mal à discerner l'activité de la Hadopi, installée le 8 janvier et dont le ministre de la culture disait qu'elle était prête à fonctionner. La récente affaire du logiciel de sécurisation proposé par Orange soulève aussi bien des questions. Censé bloquer l'échange peer-to-peer et garantir une utilisation légale d'internet, le logiciel non seulement ne protégeait pas l'ordinateur du souscripteur mais exposait celui-ci au piratage informatique. À ce jour, aucun logiciel de sécurisation n'a été encore labellisé par la Haute autorité : nos concitoyens se trouvent donc devant l'obligation de sécuriser leur connexion sans aucune visibilité. Après avoir défendu envers et contre tous la moralisation des pratiques des uti...
...iers sont d'accord sur deux propositions la carte « Musique en ligne » pour les jeunes de quinze à vingt-quatre ans, même s'ils auraient préféré que la tranche d'âge des bénéficiaires soit plus étendue, et le triplement de leur crédit d'impôt par l'extension de celui-ci à leurs frais marketing , ils considèrent que la mise en place d'ici à un an d'un régime de gestion collective des droits sur internet est une erreur de diagnostic et une mesure dangereuse et disproportionnée. La France serait ainsi le seul pays à appliquer une gestion collective des droits. La carte « Musique en ligne » est l'une des principales préconisations du rapport. Elle a pour but d'inciter un public jeune à télécharger légalement sur internet, mais son montant reste en débat. Elle était initialement estimée à 50 euros,...