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après avoir accueilli les représentants de l'ICANN et de l'AFNIC, puis présenté l'Office parlementaire d'évaluation des choix scientifiques et technologiques, a rappelé que celui-ci avait organisé, en décembre 2005, à la suite du sommet mondial sur la société de l'information qui s'était tenu à Tunis, une audition publique ouverte à la presse sur « la gouvernance mondiale de l'Internet ».
...e bourses bénéficiant aux pays en développement a été mis en place. Á une question posée sur la capacité de l'ONU à prendre en charge la régulation de l'Internet, M. Roberto Gaetano, vice-président du Board de l'ICANN, a répondu que l'infrastructure technologique de l'Internet était très originale et reposait sur une plateforme distribuée où tous les acteurs se coordonnent de façon concertée. La gouvernance de l'Internet s'inspire des mêmes principes, sans aucune centralisation, faisant coopérer toutes les parties prenantes, utilisateurs, entreprises, opérateurs, société civile, distributeurs d'adresses, pour rechercher le consensus qui donne la légitimité au système. Cette procédure est une garantie pour que l'Internet fonctionne et qu'il fonctionne dans l'intérêt de tous.
après avoir remercié les représentants de l'ICANN et de l'AFNIC, a souligné la nécessité d'associer les parlementaires des différents États aux réflexions de l'ICANN et à la gouvernance d'Internet, afin de donner une légitimité démocratique aux décisions prises.
Je ne le pense pas et vous avez eu raison, madame la ministre, d'attaquer le problème par la gouvernance. Il faut un pilote dans l'avion et en finir avec la gouvernance par défaut et le consensus mou ! C'est une réforme des plus importantes parce que l'avenir des pays industrialisés se joue dans la bataille de la matière grise et de l'intelligence. Les pays émergents l'ont bien compris : l'Inde et la Chine ont d'ores et déjà plus de chercheurs que le Japon. Comme le soulignait le représentant de l...