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Mesdames, messieurs, je suis heureux de vous recevoir aujourd'hui. Le thème des deux-roues motorisés a été abordé à toutes nos auditions. Avant tout, je tiens à dire que ni le rapporteur ni moi-même n'avons la volonté de stigmatiser qui que soit cyclistes, motards, vieux, jeunes. J'ajoute que la réduction du nombre d'accidents et de morts sur la route dépendra en très grande partie de votre collaboration et de notre bonne entente. À cet égard, notre objectif est à la fois modeste et ambi...
Que proposez-vous ? De construire des motos moins puissantes ? Est-il d'ailleurs indispensable d'avoir des motos très puissantes alors que la vitesse est limitée à 130 kilomètresheure dans notre pays ?
Où rouleraient les motos dépassant cette vitesse ?
Je suis particulièrement heureux de recevoir une délégation de la Fédération française des motards en colère. Les conducteurs d'engins à deux roues, motorisés ou non, paient un lourd tribut à la route. Messieurs, je compte sur votre témoignage pour nous éclairer sur ce qui se passe sur le terrain et pour dissiper certaines idées reçues.
De fait, le rapport du préfet Guyot a établi que l'infrastructure routière n'était pas conçue pour les deux-roues, motorisés ou non. Mais nous n'en savons pas davantage. Pourriez-vous être plus précis ?
Je suis un fidèle lecteur de Moto Magazine. Vous nous reprochez parfois de stigmatiser les motards. Mais vous êtes vous-mêmes franchement « paranos », si j'en crois l'article sur le dernier sondage motard, publié dans le numéro de juillet-août. Cela dit, nous ne demandons pas mieux que de nous exprimer dans votre revue, ce qui permettrait d'équilibrer les points de vue. Messieurs, je vous remercie pour votre contribution.