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...i du rapporteur de la commission des finances, qu'il me soit permis de faire entendre une voix de l'outre-mer. Comme je l'ai écrit dans mon rapport écrit, la mosaïque ultramarine française ne surnage pas à la surface des océans. Diverse et dynamique, elle doit être considérée comme autant d'outre-mer au sein de la République. Tous réunis, ils couvrent un espace presque aussi vaste que celui de la métropole et donnent à la France le troisième domaine maritime mondial, avec 11 millions de kilomètres carrés. Leur potentiel scientifique et économique est immense, en particulier dans le domaine de la recherche, et offre de formidables atouts et de réelles perspectives pour les prochaines décennies. L'outre-mer nous incite donc tout aussi bien à regarder notre histoire que notre avenir et, comme on dit i...
...utonomie tout en assurant la stabilité nécessaire aux institutions de la Polynésie française. Le calendrier applicable à Mayotte est le suivant : élections au mois de mars ; ensuite, si le conseil général le demande, référendum ; si le référendum confirme le souhait de départementalisation, transfert progressif des compétences. Cette progressivité est nécessaire et il convient d'y réfléchir. En métropole, les conseils généraux financent, par exemple, la totalité des collèges ; jusqu'à présent, ceux qui sont construits à Mayotte sont financés à 100 % par l'État. Il en est de même des infrastructures, des programmes ANRU, etc. On ne peut donc pas transférer d'un coup toutes les compétences. Si les Mahorais font le choix de la départementalisation au mois de mars prochain, le secrétaire d'État ouvr...
...utonomie tout en assurant la stabilité nécessaire aux institutions de la Polynésie française. Le calendrier applicable à Mayotte est le suivant : élections au mois de mars ; ensuite, si le conseil général le demande, référendum ; si le référendum confirme le souhait de départementalisation, transfert progressif des compétences. Cette progressivité est nécessaire et il convient d'y réfléchir. En métropole, les conseils généraux financent, par exemple, la totalité des collèges ; jusqu'à présent, ceux qui sont construits à Mayotte sont financés à 100 % par l'État. Il en est de même des infrastructures, des programmes ANRU, etc. On ne peut donc pas transférer d'un coup toutes les compétences. Si les Mahorais font le choix de la départementalisation au mois de mars prochain, le secrétaire d'État ouvr...