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...t de compromis constitue une bonne synthèse. Il fait référence à la liste des procédés biologiques, notamment la congélation ultra rapide des ovocytes, et il comporte un paragraphe qui devrait rassurer certains d'entre nous : « la mise en oeuvre de l'assistance médicale à la procréation privilégie les pratiques et procédés qui permettent de limiter le nombre des embryons conservés. L'Agence de la biomédecine rend compte, dans son rapport annuel, des méthodes utilisées et des résultats obtenus ».
Quand je parle d'encadrement, je n'évoque pas la dérogation pour cinq ans : je pense au rôle assigné à l'Agence de biomédecine. Il est normal de se demander si celle-ci, sur l'importation de cellules souches embryonnaires, sur l'autorisation de recherches sur ce type de cellules et sur leur évaluation, a bien fait son travail. Je réponds oui. Aucun élément ne permet d'infirmer cela.
...embryon et les cellules souches embryonnaires ne soit rapidement publié. Considérant que la question méritait une discussion parlementaire, il a demandé au président de l'OPECST d'y veiller. En accord avec la proposition de ne plus faire figurer de clause de révision périodique dans la future loi de bioéthique, il a jugé nécessaire de consolider les relations entre le Parlement et l'Agence de la biomédecine, afin que celui-ci puisse éclairer à la fois le législatif et l'exécutif sur le besoin de modifications éventuelles du cadre réglementaire. Se déclarant favorable à ces suggestions, M. Claude Birraux, député, président de l'OPECST a émis des doutes quant aux capacités d'effectuer des révisions partielles sur ces sujets. En réponse à la question d'une journaliste sur le bilan des centres de diag...