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Pas forcément ! Que faites-vous du travail à distance ?
Espérons-le !
Quelques mots seulement, qui me permettront aussi de répondre aux propos que Mme le secrétaire d'État a tenus. L'article 1er, ainsi que l'article 2 dont il est indissociable, change complètement la nature des groupements d'employeurs en dépersonnalisant et en complexifiant le rapport entre le salarié et son entreprise. Cela étant, je défends l...
Un dernier mot : vous m'avez reproché, monsieur le rapporteur, d'utiliser le terme « télétravail » pour du travail à domicile, mais c'est pourtant juste étymologiquement et c'est du bon français. À l'inverse, toutes les formes de télétravail ne sont pas du travail à domicile, vous l'avez dit vous-même. Il serait important de préciser quel est l...
Exactement !
Il me semble que le président de la commission nous a donné la raison d'utiliser le verbe « être » au présent. Si les comptes rendus « sont » publiés, ils doivent l'être. Vous avez tous à l'oreille, vous en particulier, monsieur le président, les conseils de Boileau, et celui-ci, de La Bruyère : « Vous voulez m'apprendre qu'il pleut [ ] ; dite...
Ce n'est en effet pas du tout la même chose de dire : « il pleut » que : « il peut pleuvoir ». Et je n'évoquais pas le député Mallot mais bien Boileau. (Sourires.)
Sage propos !
Madame la ministre, je ne vais pas faire une intervention technique, je veux évoquer les principes et, en particulier, l'un d'entre eux qui est supposé animer, porter le quinquennat du Président de la République et ses engagements. Je me souviens de votre première intervention dans cet hémicycle. J'en avais partagé pour partie les termes, en p...
Fondamentalement, en effet, le travail est une valeur de gauche. Il a permis l'ascension des classes sociales, l'émancipation des femmes, et c'est en tout cas une valeur que nous portons. C'est la raison pour laquelle j'interviens sur cet article. Pensez-vous que le travail puisse être davantage dévalorisé que lorsqu'un salarié regarde passer ...
À toutes les étapes de la démarche de santé, à tous les étages des structures de santé, la formation, l'enseignement, la recherche et la pratique médicale sont liés. Pour cette raison, nous suggérons que les directeurs des unités de formation et de recherche médicale ou encore les présidents des comités de coordination de l'enseignement médical...
Il a raison !
Je me réjouis que ces amendements aient amené à cette proposition de Mme la ministre. Une cartographie est en effet tout à fait indispensable. Certes, bien des collectivités souhaitent s'équiper, mais nombre d'autres tardent. Un tel outil de planification pourrait aussi être utile dans nos villes. Je cite l'exemple de Bordeaux, où il n'existe q...
Me voilà rassurée, car nous sommes souvent soumis à de fortes émotions. (Sourires.) Deux questions subsidiaires, madame la ministre : il est tout à fait opportun que l'ARS assume un rôle de planification, mais a-t-elle aussi un rôle d'incitation pour les collectivités concernées ? L'installation et l'entretien des défibrillateurs seront-ils à ...
Ce n'est pas très cher.
Les nouvelles technologies de la communication et de l'information constituent déjà un apport considérable pour les personnes âgées, et elles vont certainement être la contribution de notre génération à l'allongement de la vie et à la révolution des âges. Après l'alinéa 86, nous proposons donc d'insérer l'alinéa suivant : « D'un plan régional...
Oui, monsieur le président. (L'amendement n° 1603 est retiré.)
En politique, les mots ont leur importance. « Bientraitance » est un terme formé de façon parfaitement correcte, sur le modèle de son antonyme, « maltraitance ». Un mot entre dans le dictionnaire par l'usage. Gageons qu'en inscrivant celui-ci dans la loi, nous le retrouverons dans la prochaine édition du dictionnaire. (Applaudissements sur les ...
Le tabac est le premier pourvoyeur des deux plus grandes causes de mortalité que sont les maladies vasculaires et le cancer. Le jeune âge est le terrain d'élection de la prévention. Car, arrivé à l'âge moyen des députés de cette assemblée, on peut manger chaque matin une tartine de pesticides sans avoir rien à craindre !
Mais ce n'est pas le cas pour la jeunesse. C'est pour cette raison, madame la ministre, que nous voterons cet article des deux mains. Mais permettez-nous de dire qu'isolément, et la presse l'a souvent stigmatisé, il décrédibilise presque la politique de prévention. En effet, résumer la politique de prévention en direction des jeunes et contre l...