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Je conclus, monsieur le président. Dans un moment de grâce, accordez-moi encore trente secondes ! (Sourires.) Le livre est indispensable irremplaçable ! à notre culture, à notre identité. C'est pourquoi ce texte mérite toute notre attention, et les socialistes le voteront. Lorsqu'il existe encore des domaines où la concentration n'est pas ...
Très bien !
Eh oui !
Très bien !
Monsieur le président, monsieur le ministre de la culture et de la communication, mes chers collègues : Bernard Arnault, Vincent Bolloré, Serge Dassault, Arnaud Lagardère, Édouard de Rothschild, François Pinault, Francis Bouygues, les industriels français s'aiment en patrons de presse.
Pourquoi s'en plaindre, me direz-vous ? Au-delà des connivences malsaines, au-delà des amitiés utiles avec le pouvoir en place, je vais vous expliquer pourquoi nous ne pouvons pas approuver cette spécificité française. C'est en France que l'on trouve le plus grand nombre de grands patrons vivant des commandes de l'État. Deux entreprises leader...
On ne va pas me censurer une deuxième fois ! (Exclamations sur les bancs du groupe UMP.) Le débat n'a pu avoir lieu dans notre hémicycle la semaine dernière, au moins, qu'on me laisse terminer aujourd'hui. (Applaudissements sur les bancs des groupes SRC et GDR. Protestations sur les bancs du groupe UMP.) Monsieur le président, je compte sur...
Nos collègues Christian Kert et Jean Dionis du Séjour ont souvent été mieux inspirés que le jour où ils ont déposé leurs amendements, qui tendaient à bouleverser le monde de l'écrit. Après un travail de mise en perspective, la nécessité de renforcer l'écrit est au contraire apparue. Pour ma part, le livre numérique ne m'inquiète pas particuliè...
L'écran noir !
Pour une fois qu'il avait raison ! (Sourires.)
En reprenant l'argent à France Télévisions !
qu'il n'y avait pas de crise ?
J'espère bien que non !
En 2020, peut-être !
Ça fait un joli paysage !
Et voilà !
Monsieur le ministre, si nous faisions, ensemble, un plaidoyer pour l'écrit ; si, l'espace d'un instant, nous oubliions la mise en scène et que nous nous occupions de la mise en perspective ; si, pendant un moment, nous nous arrêtions de pleurer sur TF1 qui va racheter TMC et NT1 et qui, à elle seule, drainera alors, situation absolument except...
Seconde question : n'est-il pas temps de différencier nos aides,
pour donner plus à la presse d'opinion et peut-être un peu moins à la presse spécialisée ? Ma revue de tennis mensuelle, que je lis pour constater que mon classement ne cesse de baisser,
je dois pouvoir, en tant que consommateur, la payer au juste prix. Quant à mon journal quotidien, il faut en revanche l'aider pour que le prix en soit abordable.