639 interventions trouvées.
Rien n'est fait pour la soutenir !
Absolument !
Que cherche à faire le projet de loi sinon à saucissonner l'individu, qui ne serait pas le même avant et après vingt heures ? Avant vingt heures, en tant que téléspectateur d'une chaîne du service public, je serais un consommateur dont le marché se plaît à satisfaire les désirs. Et comme, de plus, je serais un consommateur imbécile, je céderai...
Je conclus, madame la présidente. C'est que je mets tout mon enthousiasme à convaincre le rapporteur, d'autant que ses tentatives de démonstrations ne tiennent ni pour la presse ni pour le service public. La mesure inondera de publicité TF1, qui sera certainement obligée de baisser ses prix selon les tranches horaires, et nous aurons, d'un côté...
Eh oui !
Il est défendu.
Oui.
Oui, madame la présidente.
Nous avons un absent ce soir : M. Copé, dont je voulais défendre l'amendement. Il s'agit en effet, avec cet amendement, de prévoir que l'ensemble du texte de loi entre en vigueur au 1er septembre 2009. En effet, il convient de rappeler à tout le monde que la commission Copé avait estimé qu'il fallait au moins neuf mois pour avoir le temps de la...
Favorable à celui de M. Copé !
À Copé ?
C'est le gag du soir !
Avant de m'exprimer sur cet article, j'aimerais entendre la réponse de Mme la ministre à la question de Delphine Batho. Sinon, même si nous préférerions travailler,
nous serons obligés de demander, au nom du groupe SRC, une suspension de séance. Il règne un flou artistique, et c'est très bien puisqu'il s'agit de Mme la ministre de la culture
Ne vous fâchez pas ! Vous n'y tenez plus, et vos nerfs sont à vif dès lors que nous tentons d'aborder certain sujet ! Je vous demande simplement, madame la ministre, de donner une réponse claire à une question précise. Si vous pensez ne pas pouvoir le faire, je demanderai une suspension de séance afin de réunir notre groupe.
Je demande la parole pour un rappel au règlement.
Je souhaite que nous puissions travailler dans de bonnes conditions. Vous êtes ici, monsieur le président, vous le savez mieux que personne, et nous pouvons vous faire confiance à cet égard, pour défendre aussi les intérêts de l'opposition. Vous ne pouvez pas nous laisser en rade toute la soirée ! Nous avons demandé tout à l'heure une réponse...
Au demeurant, je demande à Mme la ministre de donner une réponse claire à la question posée tout à l'heure. Si elle n'est pas susceptible de le faire, je demanderai une suspension de séance, en attendant que M. le Premier ministre puisse venir nous donner la réponse adéquate, que nous attendons pour pouvoir travailler dans la sérénité.
Je pense que nous sommes, cette fois-ci, bien compris.
Monsieur le président, je vous ai demandé la parole pour un rappel au règlement.