Interventions en commissions de Michel Françaix

Ah ! Vous l'admettez !

Il s'agit d'un enrichissement sans cause !

Commençons par les états généraux sur la presse, dont le lancement récent a donné libre cours aux grands principes, comme celui du pluralisme : ne craignez-vous pas que ce soit le « baiser qui tue », quand la presse mis à part quelques journaux confidentiels continue d'étouffer au nom de la divine concentration ? Êtes-vous d'accord avec no...

Mais 2 000 de moins les années précédentes !

Ce sont donc les sociétés de rédacteurs et de journalistes qui, in fine, décideraient.

Dans ce cas, coupez la TNT !

Le déploiement a été un peu plus rapide qu'on ne le pensait. C'est le seul point positif !

Peut-on se contenter que de 10 à 15 % des habitants de notre pays fréquentent les lieux de culture et que l'on abandonne les 85 % restants au petit écran ? Force est de constater que nous stagnons dans la conquête de nouveaux publics. Les gens vont peut-être plus souvent au théâtre, mais ce sont les mêmes. Le livre est la première industrie cu...

Je suis heureux à la fois de l'organisation de cette table ronde et du consensus qui semble se dégager dans la façon d'aborder le sujet. Pour avoir été chargé de mission auprès du Président de la République en 1981, je puis rappeler que la loi du 10 août répondait à quatre thématiques, toutes liées à la notion de pluralisme : maintien d'un no...

a estimé que deux solutions s'offrent aux pouvoirs publics : soit faire de la culture sur France Télévisions et s'en donner les moyens ; soit se résigner à se rapprocher de plus en plus du modèle des chaînes privées. On ne peut pas reprocher à la télévision publique de ne pas être moderne et, dans le même temps, ne pas lui allouer les moyens su...