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Interventions en hémicycle de Maxime Gremetz


2118 interventions trouvées.

Vous vous montrez impérieux, alors que, quand vous êtes à notre place, vous dépassez souvent la limite !

Nous voterons cette motion de rejet préalable, pour plusieurs raisons. La première tient à l'état sanitaire réel du pays. Je suis dans une région, la Picardie, qui est la première en termes de mortalité infantile. Nous sommes aussi une des dernières régions du point de vue de la présence des médecins. (Murmures sur les bancs du groupe UMP.) S...

Décidément, on paye de plus en plus, on parle de moins en moins ! (Rires.) Monsieur le président, madame la secrétaire d'État, chers collègues, des quatre ministres qui ont présidé à ce PLFSS, il n'en reste aujourd'hui plus qu'un seul. Cette hécatombe doit-elle être considérée comme une sanction ? Je l'ignore, et pourtant, ce texte, qui poursu...

Vous verrez bien. On peut déjà le voir, d'ailleurs. C'est ainsi que votre réforme des retraites a planifié la diminution du montant des futures pensions et ouvert la porte, de facto, aux fonds de pensions et aux assurances privées. Dois-je vous rappeler que Guillaume Sarkozy, frère du président Nicolas Sarkozy, est très content de ce que vous ...

De même, ce PLFSS, en entérinant l'augmentation des dépenses restant à la charge des malades, rend inévitable le recours aux assurances complémentaires. La loi sur l'autonomie annoncée pour l'année prochaine pourrait entériner la création d'un cinquième risque. Nous avions nous-même proposé la création d'une cinquième branche, mais dans le cad...

Vous, vous proposez de financer la dépendance par un recours quasi obligatoire aux assurances privées. C'est vers cela que vous avancez !

Vous verrez bien ! Vous penserez à moi, quand nous en discuterons ! (Sourires.) C'est une bonne nouvelle pour les assureurs privés, pour les fonds de pensions, pour les grands groupes gestionnaires d'établissements de santé et de maisons de retraite : devant la mise en oeuvre de cette politique, ils se frottent joyeusement les mains. Selon l'...

Attendez, je viens à peine de dépasser mes cinq minutes ! Et j'ai été interrompu, monsieur le président.

Je conclus. Nous refusons également que ce choix soit imposé sans aucun débat public, car il faut que les citoyens puissent donner leur avis sur la protection sociale qu'ils souhaitent. Le Gouvernement ne doit pas l'imposer sans concertation et sans consultation, comme il l'a fait avec la réforme des retraites au mépris de 71 % des Françaises e...