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Je peux aussi parler de la Suède. Là-bas, ils sont blancs comme nous C'est un problème qui est posé à bien des familles qui n'arrivent pas à le résoudre. Elles aiment des enfants abandonnés, qui sont souvent dans des orphelinats. Je défends un point de vue humaniste.
C'est la réalité ! J'aurais fait pareil !
Johnny Halliday, il n'avait pas le droit de le faire et on le lui a donné ! Ceux qui ont du fric le peuvent, mais pas les cheminots !
Jean-Jacques Candelier a exposé nos soucis, nos préoccupations et notre avis sur le texte. Nous avons certes approuvé des amendements qui n'ont pas été retenus, mais étant donné la tenue du débat et l'écoute dont chacun a su faire preuve, cela ne saurait nous conduire à changer de position. Le texte constitue une avancée significative ; il en f...
Commencez donc par l'Assemblée nationale ! Soyez là le dimanche !
Avec le questeur Mallié, c'est la liberté pour lui et pas pour les autres !
Pourquoi pas la Picardie ? Que faites-vous des lois de la République ?
Surtout le questeur Mallié !
C'est scandaleux !
Laissez-le parler maintenant !
Très juste !
Il y en a déjà 188, arrêtez !
Vous n'avez jamais travaillé le dimanche : vous ne savez pas. Vous ne savez rien !
Scandaleux !
Cela va de soi !
Pour une fois, on peut être d'accord !
Vous n'étiez pas là !
Monsieur le président, monsieur le ministre, mes chers collègues, dix-huit propositions de loi ont été déposées sur cette question relative au traitement sanitaire des essais nucléaires, ce qui prouve que celle-ci dépasse largement les clivages politiques. Il s'agit du droit à réparation pour des populations victimes des conséquences extrêmeme...
Je vais terminer, monsieur le président, puisqu'on n'a pas le temps de s'exprimer ici. (Rires.) Ne riez pas, puisque même le Gouvernement s'intéresse aujourd'hui à la question, fort heureusement ! J'ai lu l'interview de M. le ministre, que j'ai appréciée. Il se demande pourquoi on a pris un tel retard ; c'est une question légitime. Moi, je ne r...
Je termine, monsieur le président, mais je n'aime pas qu'on rie quand on parle de ça. Les vétérans et leurs familles ne rient pas. M. le ministre semble avoir compris, mais pas ceux qui rient, et c'est bien dommage.