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Les amendements de Marylise Lebranchu pour ce dossier

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Pour avoir fait partie de ceux qui ont reçu l'an passé des délégations, et pour avoir rencontré aujourd'hui les personnels concernés, je ne peux pas, monsieur Myard, vous laisser tenir de tels propos sans réagir. La révolte des personnels n'est pas liée au fait qu'ils sont obligés de partir à cinquante-cinq ans. Elle est due au fait qu'à l'inté...

Cette stratégie a deux conséquences graves : d'une part, les personnels concernés n'acquièrent plus d'avancement ; d'autre part, ils se sentent inutiles.

Les médecins d'une compagnie que nous ne citerons bien évidemment pas ici ont fait arrêter, cette année, un certain nombre de navigants pour des maladies liées à l'altitude. Car il y a réellement des problèmes physiques qui se posent. Même si nous, nous décidions de prolonger leur activité à bord au-delà de cinquante-cinq ans, les médecins ...

et je vous assure que ces personnels souffrent surtout d'être rejetés vers les ASSEDIC par leur entreprise.

Il n'est pas normal que celle-ci les confie aux ASSEDIC parce qu'elle est incapable de les reclasser. Ce n'est pas parce que l'entreprise n'a jamais voulu anticiper les problèmes liés aux maladies de l'altitude qu'il faut valider une solution qui consiste à les rendre encore un peu plus malades pendant quelques années. Nous ne pouvons pas voter...

Je pense que M. Bertrand, qui est attentif à ces choses, corrigera l'erreur au sujet de Saint-Pierre-et-Miquelon : une telle inégalité de droit serait inacceptable. Je le dis après avoir écouté des collègues plus spécialistes du sujet que moi : il y a vraiment une injustice violente, car l'annonce initiale ne comportait pas toutes ces restrict...

Or nous savons tous qu'un effort en faveur de ces personnes veuves qui sont souvent des femmes, comme le disait Marisol Touraine est indispensable : à leur âge, elles ont souvent à payer les charges liées à la maison, quand elles ont la chance d'en avoir une, et à assumer les dépenses pour leurs enfants. À ne pas vouloir régler le problème ...

La proposition de M. Jacquat représente une avancée indéniable. À cet égard, je ne comprends pas vos arguments, monsieur le ministre. Vous nous dites qu'il faut attendre l'étude d'impact du COR, car certaines personnes pourraient être désavantagées. Je ne vois pas comment quiconque pourrait être désavantagé, puisqu'il s'agit des meilleurs trime...