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J'ai pu examiner sur place le fonctionnement du Centre européen pour la prévention et le contrôle des maladies et rencontré à ce titre votre collègue M. René Snacken. J'ai pu observer comment étaient évalués les risques en fonction d'incertitudes documentées et ai compris qu'il existait des liens très étroits entre ce centre et celui d'Atlanta....
La cellule de surveillance d'Atlanta comprend quatre cents personnes qui étudient les messages reçus en temps réel, alors qu'il n'y en a que dix ou douze à Stockholm.
Est-il vrai qu'une étude comparative entre le Chili, qui avait utilisé le Tamiflu, et l'Argentine, qui n'a pas recommandé sa prescription, donne un très net avantage au Chili ?
La Haute Autorité de santé a fait état d'études contradictoires concernant le service médical rendu du Tamiflu.
Un des experts de la Haute Autorité de santé que nous avons auditionné a fait état de résultats contradictoires concernant le service médical rendu du Tamiflu. Enfin, la liste des experts qui collaborent avec votre laboratoire et leur déclaration de conflits d'intérêts sont-elles publiées ?
Je viens de rencontrer le responsable de la pharmacie centrale des armées qui m'a déclaré disposer encore aujourd'hui de neuf tonnes de Tamiflu en poudre. L'armée serait capable de fabriquer rapidement des gélules à partir de la poudre, grâce à un procédé spécial.
Il y a environ un an, nous avions prévu, dans le projet de loi de financement de la sécurité sociale, une possibilité d'autorisation de mise sur le marché transitoire en cas d'urgence sanitaire, destinée à éviter les procédures administratives. C'est sans doute ainsi que le comité de lutte contre la grippe a pu prendre sa décision.
Pouvez-vous nous préciser quelle était l'articulation entre le secrétariat général de la défense et de la sécurité nationale, la cellule interministérielle de crise, la direction générale de la santé et le département des situations d'urgence sanitaire ? Comment ce dispositif était-il décliné dans les préfectures, qui n'ont pas toutes réagi de ...
Cette préparation a-t-elle eu lieu au sein du ministère de la défense ou de celui de l'intérieur ?
Messieurs, vous nous direz tous deux ce que vous avez pensé de la gestion de l'épidémie de grippe H1N1. Mais, pour commencer, professeur Gentilini, vous avez écrit que le problème majeur en cette affaire vous a paru être le bon usage du principe de précaution. Quel pourrait être selon vous un bon usage de ce principe ?
Et « de la démesure »
Si l'incertitude prévalait au début de l'épisode viral, on a ensuite mieux connu le virus. Vous aviez dit, professeur Gentilini, devant l'Office parlementaire d'évaluation des choix scientifiques et technologiques, qu'il faudrait renoncer à utiliser le mot « pandémie » sans nous dire d'ailleurs par lequel le remplacer. Ce terme est-il encore ...
La France n'est pas la seule à s'être trompée.
Vous n'êtes pas d'accord sur la définition du terme de pandémie.
C'est l'application stricte du règlement sanitaire international, validé par tous les États, dont la France.
Nous avons d'autres représentants, en la personne notamment du secrétaire exécutif du groupe stratégique consultatif d'experts sur la vaccination, M. Philippe Duclos.
En outre, du fait de la guerre, la population souffrait également de dénutrition, ce qui la fragilisait.
Les centres de vaccination étaient donc en dehors de l'hôpital. Vous y avez envoyé régulièrement des internes et des étudiants. Ces derniers n'ont-ils jamais rechigné à s'y rendre ? Par ailleurs, à quelle date avez-vous commencé à pratiquer des vaccinations au sein des hôpitaux ?
À la fin du mois de décembre et au début du mois de janvier, lorsque l'on a organisé les vaccinations intra-hospitalières, vous avez bien dû mettre des locaux à disposition. Il aurait suffi de le faire plus tôt
Avez-vous été amenés à envoyer des internes et des externes en dehors de l'agglomération lyonnaise ? Pouvez-vous par ailleurs nous indiquer comment s'est passée l'indemnisation de ces personnels ?