12272 interventions trouvées.
Je n'ai pas fait la guerre de 14 avec vous !
Je tiens, madame la ministre, à vous livrer cette citation d'Einstein pleine de sagesse, que vous illustrez parfaitement, et dont j'ai fait bénéficier M. Woerth cet après-midi : « Un préjugé est plus difficile à casser que l'atome. » Ainsi, préjugez-vous de la moralité de personnes dont vous savez qu'elles se retrouvent de conseil d'administrat...
Attention, voilà Robespierre !
Et de sabreur !
Sans anesthésie ! (Sourires.)
Vous êtes, nous avez-vous dit, madame la ministre, favorable à la diffusion de l'argent.
Vous ne faites pas d'idéologie ?
Pour être tout à fait fidèle à vos propos, vous avez parlé, lors de votre audition par la commission des finances, de « circulation de l'argent ». Nous défendons, pour notre part, la circulation du pouvoir, qui ne soit pas rester aux seules mains des actionnaires, donc de ceux qui possèdent le capital, au détriment de ceux qui produisent des ri...
Quand il vient de droite !
Vous me répondrez, je le sais, madame la ministre, que deux représentants des salariés siègent au conseil d'administration. Mais, comme vous le savez, ils sont là pour la décoration, puisqu'ils n'ont pas le droit de vote ! Nous pensons, en effet, que ce type de consultation devrait entrer naturellement dans le périmètre de compétence des comité...
Je demande la parole pour un rappel au règlement.
Mon rappel au règlement sera très bref. Je tenais à revenir, monsieur le ministre, sur le début de votre propos. Je vous invite à respecter l'esprit et la lettre de la Constitution, et notamment son article 5. Vous avez évoqué, si je ne me trompe, l'orientation de l'instruction du Président de la République. Jusqu'à nouvel ordre, la Constitutio...
Je commence à vous connaître, après une semaine de cohabitation !
Pour les riches !
Monsieur le rapporteur général, vous vous rappelez certainement qu'en 2001 vous étiez certes dans l'opposition mais déjà très actif , nous avons déjà défendu un amendement privilégiant les comités d'entreprise.
Vous connaissez la dure loi d'airain de la discipline de majorité. Bien qu'étant dans la majorité de la majorité, vous avez parfois dû avaler votre chapeau. Nous, nous ne l'avons jamais avalé parce que nous avons toujours défendu en séance les amendements auxquels nous croyions, et nos collègues socialistes sont là pour en témoigner, mais, quan...
C'est dur parfois, effectivement, et Charles de Courson pourrait dire la même chose, mais nous ne sommes pas coupables si les comités d'entreprise n'ont pas plus de pouvoir. Quand la gauche reviendra, il faudra qu'elle corrige cette insuffisance.
C'est pertinent !
Ça commence mal ! (Sourires.)
Dans le domaine militaire, il vaut mieux ne pas trop voir de retombées !