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12272 interventions trouvées.

Karl Liebknecht, Rosa Luxemburg, Jaurès, cela nous donne un peu d'ancienneté par rapport à certains dont la filiation politique est étroitement nationaliste. Les adversaires de Jaurès, un Maurras, un Barrès, c'est de votre côté qu'ils étaient, chers collègues de droite, pas du nôtre !

Et où était de Gaulle ? (Protestations sur les bancs du groupe UMP.) Ils ont pourtant participé tous les deux à la libération de la France. Mais revenons à notre sujet, si vous le voulez bien. Monsieur le ministre, c'est la politique que vous menez actuellement qui risque de conduire au refus de l'Europe par les peuples. Voyez la protestation ...

Je vous laisse la responsabilité de vos propositions. Ce qui se passe en Hongrie, aux Pays-Bas, dans certaines provinces belges, c'est très inquiétant. On n'avancera pas par la confrontation, ni en faisant resurgir les haines nationalistes. Quant à la démocratie, vous êtes un démocrate non pratiquant, monsieur le ministre. Rappelez-vous le ré...

Or, si la démocratie parlementaire est indispensable, elle n'est que délégation. La forme ultime de la démocratie, c'est celle par laquelle le peuple exerce directement sa souveraineté.

Les soviets ont été une belle expérience pendant une période, monsieur Raoult. Si vous voulez, on peut faire une expérimentation au Raincy. Pour poursuivre mon propos, monsieur le ministre, vous avez refusé au peuple grec le droit de s'exprimer. Ce n'est pas vieux, ça ! Et vous nous parlez de démocratie ! Pis encore, vous mettez les budgets na...

Ma chère collègue, vous êtes impatiente parce que vous n'aimez que la soupe qu'on vous sert d'habitude. (Exclamations sur les bancs du groupe UMP.)

Si je ne suis pas interrompu, je vais pouvoir conclure. Monsieur le ministre, monsieur Lequiller, vos conceptions et les nôtres s'opposent : c'est toute la noblesse du débat politique. Chacun doit être convaincu que nous ne sommes pas au bout de la crise, parce que vous n'avez proposé aucune solution de fond. Nous sommes au début, si nous n'y...

Madame la ministre, je vous sens d'une humeur positive, cet après-midi ! Aussi j'en profite, puisque vous vous êtes prononcée en faveur des amendements précédents, pour vous offrir une nouvelle occasion d'adopter une attitude positive ! Il semblerait que le Gouvernement estime que ceux qui dorment, par exemple, à l'hôtel Meurice, au Fouquet's,...

Imaginons alors qu'ils aient des goûts de luxe et que vous n'ayez pas les moyens de satisfaire leur appétit de luxe et peut-être de luxure, comme dans certains hôtels ! (Exclamations sur les bancs du groupe UMP.)

Si vos amis fortunés disais-je, madame la ministre, ne pouvaient payer les 10 euros environ que représenteraient en l'occurrence cette taxe de 2 %, je suis sûr, connaissant votre générosité, que vous n'hésiteriez pas à leur donner vous-même un billet de 10 euros : vous feriez donc mieux, quitte à faire une bonne action pour la République, d'acc...

M. de Courson avance un argument fallacieux : si l'on a un problème avec la catégorie, il suffit de taxer en fonction du prix de la chambre. Nous sommes des humanistes, avez-vous déclaré, madame la ministre, et c'est vrai : il y a ceux qui font des humanités, comme vous, et ceux qui font preuve d'humanité, comme nous, ce qui n'est pas la même ...

Vous nous expliquez, madame la ministre, qu'il n'est pas interdit de proposer une mesure rétroactive quand elle est favorable aux Français, mais vous ne vous adressez pas en l'occurrence à ceux qui vont dans les hôtels Formule 1 ou Première classe. Vous privez donc les caisses de l'État d'une rentrée d'argent venant de gens richissimes. Même pr...

Le pauvre ! Il va lui falloir demander à son laquais de marchander avec le maître d'hôtel ! Tout cela n'est pas bien sérieux et, à force de défendre les privilégiés, madame la ministre, même si vous le faites d'habitude avec talent, cela finit par se voir comme le nez au milieu de la figure.