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J'ai presque fini, monsieur le président. Nous savons qu'en dix ans, la majorité de droite a doublé la dette, qui est passée de 900 à 1 800 milliards d'euros. Voilà donc des recettes possibles, madame la ministre, et je vois qu'en ce 14 février vous êtes séduite ! (Sourires.)
Nous n'avons pas la même notion du plafond. Vous, ce sont des plafonds divers ; nous, nous voulons que ce soit un plafond qui corresponde plus à la dimension d'êtres humains normaux, qui ne soit pas seulement adapté aux plus riches. (L'amendement n° 701, repoussé par la commission et le Gouvernement, n'est pas adopté.)
La discussion est très intéressante. Vous dites, madame la ministre, qu'il ne faut pas rouvrir le dossier. Vous avez en effet déjà été très généreuse et nous n'avons pas, avec M. Verchère, tout à fait la même notion de classes moyennes. Pour nous, les classes moyennes, qui sont déjà très étoffées, ne participent pas suffisamment à la solidarité...
C'est un amendement très simple qui n'a pas le mérite de la nouveauté, mais, madame la ministre, il vaut mieux se répéter que se contredire. D'ailleurs, c'est ce que vous faites aussi, de façon impressionnante : vous défendez l'indéfendable, vous restez droite dans vos bottes parfois vous me faites penser à la Victoire de Samothrace, cette ma...
Des ailes ? Non, la preuve, elle a sombré.
En tout cas, madame la ministre, vous avez l'occasion, en réduisant le bénéfice que procurent les stocks-options, de prendre une mesure de justice : une façon de vous différencier de la Victoire de Samothrace. (L'amendement n° 708, repoussé par la commission et le Gouvernement, n'est pas adopté.)
Entendre Charles-Amédée de Courson parler de communisme de guerre ne manque pas de sel, car je ne doute pas qu'à cette époque il aurait été plus proche de Nicolas II et de Raspoutine que de Lénine Quant à Jacques Myard, qui parle de dentelle, il est plutôt dans la fraise, celle que l'on portait autour du cou et qu'il fallait ôter avant d'être ...
Nous sommes ici pour discuter, et vous ne pouvez pas considérer que votre réflexion se résume à l'adjectif défavorable ! Il faudrait nous éclairer. Nous vous donnons des exemples français et américains fort convaincants, madame la ministre, et, sans exiger de vous des phrases aussi longues que celles de Marcel Proust, j'aimerais de votre part u...
Mme la ministre paraphrase Maurice Thorez.
Jérôme Chartier stratège : la majorité est aux abois !
Le Gouvernement s'est livré à un tour de passe-passe lors de la dernière loi de finances en gelant le barème de l'impôt. Lorsqu'on parle de « gel du barème de l'impôt » à nos concitoyens, ils entendent « gel de la fiscalité », alors que c'est exactement le contraire qui se produit. Des personnes ont vu leurs impôts augmenter de manière tout à ...
C'est d'une véritable arnaque que le Gouvernement s'est rendu coupable en l'espèce ! Sans le dire, il a augmenté les impôts de nos concitoyens, et il s'en tire grâce à un abus de langage ! Je le répète, nos concitoyens comprennent le gel du barème comme un gel des impôts ! En vérité, chaque fois que le barème est gelé, les impôts augmentent méc...
On ne peut pas comprendre !
Ce sont vos amis, les perturbateurs !
Monsieur le président, il y a un problème car, pour donner l'avis du Gouvernement sur l'amendement n° 706, déposé par le groupe de la Gauche démocrate et républicaine, Mme la ministre s'est adressée à un député qui n'est pas signataire de l'amendement. En effet, jusqu'à nouvel ordre, François Hollande n'est pas membre du Front de gauche. (Souri...
Si vous le dites !
Le problème, ce n'est pas l'élan, c'est l'atterrissage !
Ce n'est pas le pire d'entre vous !
Ils s'en mettront plein les poches, comme d'habitude !