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Oui, monsieur le président, mais la question est d'importance. Et cette présentation m'évitera d'intervenir sur chaque amendement : globalement, on gagnera donc beaucoup de temps.
En effet, monsieur le président. Il faut donc, disais-je, intervenir sur la formation des prix. Quand on en est à organiser des pénuries pour les faire monter et que les compléments sont importés par des sociétés de droit étranger contrôlées par des Français, c'est qu'il y a un problème. Pour le coup, je vous renvoie à mon rapport, qui décrit ...
Pour boucler la boucle, monsieur le président, je dirai qu'il faut un critère simple : garantir le pouvoir d'achat avec davantage de transparence. Pour finir le travail entrepris, j'avais proposé la création d'une mission mixte entre le Sénat et l'Assemblée nationale.
Une dernière phrase, monsieur le président. Si ma proposition n'aboutit pas, pourquoi, monsieur le secrétaire d'État, le Gouvernement ne confie-t-il pas ce travail d'accompagnement à un groupe de sénateurs et de députés, afin que la remise à plat se fasse dans la concertation et la transparence, et que des mesures pérennes soient mises en plac...
Oui, monsieur le président : proustiennes ! (Sourires.)
Il est meilleur que celui de M. Laffineur ! (Sourires.)
Moi qui ne suis pas ultramarin, je suis cartésien. Dix ans, c'est dix ans ; ce ne peut pas être autre chose. Je reviens sur le fond. Si l'on veut supprimer l'avantage, il ne faut pas que cela se traduise par une baisse du pouvoir d'achat pour la masse des personnes concernées. Il faut donc travailler sur la formation des prix. Les circuits so...
C'est prudent !
Mais la commission a adopté cet amendement !
La banquise fond ; la noyade est assurée !
Les bourses se redressent !
Quand on tourne en rond, c'est difficile de garder le cap !
Ce n'est pas la peine de le compromettre ! (Sourires.)
Nos collègues de l'UMP me semblent bien assoupis « Mais qui peut arrêter la crise ? », titrait ce matin le journal Metro. Une chose est sûre, madame la ministre, monsieur le ministre : pas vous !
Vous n'avez pas l'outillage intellectuel et théorique nécessaire pour comprendre la situation. (Protestations sur les bancs du groupe UMP.)
Je vous croyais assoupis, chers collègues de l'UMP Le projet de loi de finances pour 2009, encadré par la loi de programmation des finances publiques pour les années 2009 à 2012, l'exprime fort bien. Ce texte sera en effet un facteur d'affaiblissement de l'action de l'État, au moment où celui-ci devrait se muscler pour affronter une crise éco...
Je termine, monsieur le président. (« Ah ! » sur plusieurs bancs du groupe UMP.) L'arrivée de la crise, que vous n'avez su empêcher faute de la comprendre, va d'abord frapper les ménages moyens et pauvres, ce qui ne vous a nullement incité à aller vers plus de justice fiscale. Vous avez défendu bec et ongles l'injustifiable bouclier fiscal, al...
Pour toutes ces raisons, nous voterons contre la première partie du PLF, comme nous avons voté contre le projet de loi de programmation des finances publiques. (« Oh ! » sur plusieurs bancs du groupe UMP.) Cela vous laisse cois, mes chers collègues, car vous êtes comme le Gouvernement : désemparés ! Pour vous en sortir, vous devriez nous écout...
C'est la béquille de l'Élysée !
Vous nous lisez la photocopie de votre discours de la semaine dernière !