11490 interventions trouvées.
« Il est dangereux de tomber dans l'eau. Marchez sur les berges » : voilà le type de règles qu'il fixe ! Celles que je vous propose viseraient plutôt à interdire de pousser dans l'eau les gens en état de fragilité pour qu'ils se noient. Ce n'est pas la même chose. Madame la ministre, puisque, je le sens, notre débat vous inspire, permettez-moi...
Ma chère collègue, je crois que vous auriez besoin d'une visite guidée de Stains. Je vous la ferais faire volontiers avec mon collègue maire de cette ville.
Pour le 16e, vous pouvez vous adresser à M. Goasguen, le député des duchesses décaties. (Sourires.) Mais j'en reviens aux banques. Vous ne vous voulez pas les fâcher. Votre projet est donc très limité dans ses ambitions. C'est pourquoi vous tenez un langage qui, en fin de compte, n'a pas de conséquences. Vous supprimez les éléments les plus vi...
Je pense notamment à la disposition qui vise à préserver le logement. Encore que vous feriez bien de nous dire si l'hôtel particulier de la rue des Saints-Pères de M. Tapie peut être concerné. Car, si tel est le cas, nous ne pourrons évidemment pas vous suivre. Je vois, madame Rosso-Debord, que vous n'êtes pas très sûre de votre fait.
Écoutez, je ne suis responsable ni de M. Fabius, qui n'est pas là pour se défendre, ni de quiconque. Je suis responsable de mes propos, et c'est bien suffisant. (Sourires et exclamations sur les bancs du groupe UMP.)
Madame la ministre, permettez-moi une remarque sur les conditions dans lesquelles l'examen de ce projet de loi sur le crédit à la consommation et le surendettement des ménages va avoir lieu. Nos débats vont être hachés : un bout aujourd'hui, un bout la semaine prochaine, un autre dans quinze jours et, si nécessaire, un bout à la saint-glinglin....
Ce n'est pas une caricature, monsieur Ollier ! Vous êtes maire
d'une ville tout à fait respectable, mais je prétends qu'à Rueil-Malmaison, les personnes en difficulté sont moins nombreuses qu'en Seine-Saint-Denis, par exemple.
Non, je n'ai pas le monopole des gens en difficulté, mais vous ne vous occupez pas d'eux. (Protestations sur les bancs du groupe UMP.)
Votre politique est responsable du chômage, de la misère
Vous voyez, monsieur le président, dès que vous les touchez là où ça fait mal, c'est-à-dire du côté du portefeuille, que vous évoquez les intérêts qu'ils représentent,
que vous mettez en évidence leur rôle de fondé de pouvoir de la grande finance, ils réagissent.
C'est Pavlov !
D'ailleurs, Mme Lagarde approuve en connaisseuse. Mais je vais continuer mon propos, si je ne suis pas davantage interrompu. (Sourires et exclamations sur les bancs du groupe UMP.) Le surendettement est pour nous, ce n'est pas une découverte une réelle souffrance pour ceux qui en sont victimes, car ce sont bien de victimes qu'il s'agit. A...
Certes, monsieur Ollier, mais c'est induit par les dispositions du texte.
Le système, c'est le capitalisme.
Vous l'avez dit. Vous êtes pris les doigts dans le pot de confiture !
Ce système, qui est le vôtre, nous n'en voulons plus parce qu'il génère la misère des uns et les privilèges des autres.
Je n'arrêterai jamais, madame de La Raudière, tant que des politiques comme celles que vous menez génèrent la misère. C'est ainsi.
Monsieur le président, il me semble qu'il faudrait organiser, pour certains de nos collègues de l'UMP, un séminaire de réflexion non seulement pour les initier à ce qu'est la réalité de la vie aujourd'hui, mais aussi pour leur expliquer par qui sont produites les richesses et la mauvaise répartition de celles-ci entre ceux qui possèdent le capi...