Les amendements de Jean-Pierre Brard pour ce dossier
14 interventions trouvées.
Monsieur le président, vous qui êtes un homme d'expérience et de sagesse, vous savez bien qu'il y a le texte et le contexte. Or le contexte change tous les jours, du fait d'un personnage qui n'a pas encore compris qu'il est Président de la République. (Exclamations sur les bancs du groupe de l'Union pour un mouvement populaire.) Chaque jour, il...
Non, ils étaient républicains, et il y a là plus qu'une nuance ! Monsieur le ministre, vous qui voyez le chef de l'État toutes les semaines et qui êtes, contrairement à d'autres, en odeur de sainteté , pourriez-vous lui rappeler qu'il reste Président de la République jusqu'à la fin de son mandat ? Et à l'occasion, demandez-lui donc d'user p...
Nos interventions ne sont pas exclusives l'une de l'autre : les éclairages varient selon la couleur ! (Sourires.) Vous ne pouvez pas, monsieur le ministre, balayer d'un revers de main les amendements de nos collègues socialistes, qui sont évidemment très importants. À vous entendre, monsieur le rapporteur, ils seraient déjà satisfaits. Dans ce...
Je vous remercie du compliment, mais j'avoue que je suis battu, et que vous me contraignez à la modestie ! (Exclamations sur les bancs du groupe de l'Union pour un mouvement populaire.)
Vous avez remarqué, monsieur le président, que le ministre se borne désormais à répondre par mimiques. C'est dire à quel point il est dans les cordes ! On comprend bien, monsieur le président, monsieur le ministre, que vous vous êtes tous fait remonter les bretelles pendant le week-end. Voilà d'ailleurs Pierre Méhaignerie, l'un des apôtres de ...
même quand on n'est pas d'accord, par esprit de sacrifice et pour gagner son paradis un jour prochain.
Ce n'est pas moi, mon cher collègue, qui ai tenu les discours de Latran et de Ryad ! Ce n'est pas moi qui viole la laïcité, mais celui qui devrait en être le garant. Mais revenons à notre sujet. Vous avez raison de dire, monsieur le rapporteur, que la gauche n'est pas la seule à s'occuper de la santé des salariés. Vous vous en occupez, vous au...
Dans une incise et sans avoir l'air d'y toucher, monsieur le ministre, vous avez évoqué tout à l'heure les heures supplémentaires. Je crois que M. Mothron siégeait à la commission des finances lorsque notre excellent collègue Gilles Carrez, rapporteur général du budget, a présenté son projet de rapport intéressant notamment les dispositions re...
Nul n'est capable de dire combien d'heures supplémentaires ont été créées. Ce que nous savons en revanche avec certitude, c'est que les nouvelles règles ont fait sortir de la zone grise des heures supplémentaires déjà effectuées, à l'instar de ce qui s'était produit avec le dispositif relatif à la TVA à 5,5 % sur les travaux réalisés dans les l...
Cela vous gêne que l'on emploie une référence culturelle ? Certes, vous n'y êtes pas habitué en Conseil des ministres, j'en conviens
Il me semble, monsieur le ministre, que notre collègue est un peu sévère avec vous lorsqu'il dit se perdre dans les méandres de votre pensée
Vous ne perdez rien pour attendre, monsieur le ministre ! Ne noyez pas le poisson ! Votre boussole est toujours braquée sur l'étoile polaire, qui, pour vous, consiste à beurrer la tartine du MEDEF (Protestations sur les bancs du groupe de l'Union pour un mouvement populaire), tout le reste n'étant qu'habillage.
Vous n'en avez que pour les banquiers, les compagnies d'assurance et les grands groupes, et le reste n'est que discours !
Il va parler ! Nous sommes pour le pluralisme, de ce côté de l'hémicycle ! Ce n'est pas comme chez vous, surtout depuis le conseil national de l'UMP ! Mais combien y a-t-il de députés aujourd'hui sur les bancs de l'UMP ? Certes, on a vu tout à l'heure M. Apparu lever timidement la main, parce que c'est un jeune député dynamique, qui n'a pas com...