Les amendements de Jean-Marie Le Guen pour ce dossier
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D'où vient cette idée de créer un petit comité, à la différence de ce qui s'est fait sur d'autres sujets ? Les parlementaires de l'opposition n'ont été associés à aucun moment à cette réflexion qui se veut évidemment neutre d'un point de vue politique. Comme l'ont dit certains orateurs avant moi, il s'agit de savoir si la gestion de la maîtris...
La démonstration de notre collègueYves Bur était lumineuse à bien des égards. Tout d'abord, monsieur le ministre, l'existence de petites actions gratuites ou de petites stock-options n'est pas de nature à nous rassurer, et devrait vous inquiéter encore plus que nous. Vous êtes ministre du budget, chargé tout de même de faire rentrer l'argent d...
Vous nous parlez, avec des trémolos dans la voix, des jeunes talents, mais eux et les futures jeunes pousses, vous les chargez du fardeau de la dette sociale ! Si on suit votre raisonnement, ces mêmes talents vont peut-être demain être obligés de quitter la France parce que ce fardeau va peser beaucoup plus lourdement sur eux que la taxe légiti...
Pourquoi un tel passage ? Parce que les stock-options étaient évidemment des rémunérations correspondant à une philosophie de la croissance de la valeur de l'action, alors qu'aujourd'hui nous sommes devant des marchés boursiers plutôt stagnants, voire déclinants. On préfère dès lors prendre tout de suite ce qui est prenable au prix fixé. Ces di...
À défaut d'avoir ledit rapport, M. le ministre pourrait-il déjà nous dire si une étude a été menée sur les conséquences
Vous qui êtes un spécialiste reconnu des retraites à tous les sens du terme, monsieur Jacquat, restez-le. (Murmures sur les bancs du groupe UMP.)
Le ministre peut-il nous dire si son administration a conduit des études sur l'impact boursier de la liquidation du FRR ? J'aimerais également savoir si le fonds détient des actions L'Oréal ? (Sourires.) (L'amendement n° 303 n'est pas adopté.)
Monsieur le ministre, vous avez souligné les convictions de M. Bur, mais nous parlons de faits, pas de convictions. En France, plus de 60 000 décès sont liés au tabac.
Si vous croyez une seconde à ce que vous venez de dire, monsieur Mallié, faites-le ! Nous sommes devant un sujet de fiscalité, mais je veux regarder la politique du Gouvernement, et j'allais même dire de cette majorité, dans la durée. En 2003, j'ai voté l'augmentation substantielle du prix du tabac. L'opposition l'a fait alors qu'elle aurait p...