2001 interventions trouvées.
Pour citer un exemple bien connu, M. Forgeard, qui a bénéficié d'un parachute doré, ne participera pas au financement du RSA. Cela, nous ne l'acceptons pas.
Et je ne comprends pas, monsieur Copé, que vous assumiez une telle injustice. (Applaudissements sur les bancs des groupes SRC et GDR.)
Je demande la parole pour un rappel au règlement.
L'invective et l'ironie mal placée ? Nous venons d'en entendre un florilège. Vous vous êtes un peu emballé, monsieur Copé. Il faut croire que cela vous arrive aussi. Vous semblez en pleine forme, mais ce n'est pas le problème. Je vous ai posé une question précise. Puisque vous ne voulez pas y répondre, je me retourne vers le Gouvernement. Trouv...
Je conclus ce rappel au règlement. On nous intente un procès en obstruction. Prouvez-nous, monsieur Copé, que nous avons mérité ce grief sur le RSA. Était-ce le cas cet après-midi ?
Monsieur le haut-commissaire, n'avons-nous pas toujours débattu sur le fond ? Ce soir, nous posons la question centrale du financement. Il y a peu, M. Devedjian, responsable de l'UMP, et le président de la commission des affaires sociales jugeaient normal que les bénéficiaires du bouclier fiscal soient également mis à contribution. Mais, depuis...
Alors, l'argument devrait valoir aussi pour ceux qui bénéficient de parachutes dorés !
Monsieur le président, afin que chacun puisse retrouver un peu de sérénité pour débattre des vraies questions, je demande une suspension de séance pour pouvoir réunir mon groupe.
Vous avez changé d'avis !
Mais c'est sans rapport avec le RSA !
Il s'agit d'une mesure de justice fiscale indépendante du RSA.
Vous croyez vraiment à ce que vous dites, monsieur Méhaignerie ?
Je demande la parole pour un rappel au règlement !
Monsieur le président, je demande une suspension de séance !
La suspension de séance est de droit !
Monsieur le président, avant le vote sur l'amendement n° 373, je vous demande de vérifier le quorum.
Je regrette que vous ayez laissé M. Copé conclure les débats, alors que je souhaitais avoir avec lui un simple échange. Nous avons assisté à un numéro de dialectique de la part de M. Hirsch. Un tel mélange des genres est profondément choquant car, si le débat fiscal s'impose, il aura lieu de toute façon, monsieur Woerth, lors de l'examen du pr...
Nous sommes en profond désaccord avec vous. Puisqu'il y a des problèmes au sein de la majorité, dont très peu de députés sont présents ce soir (Protestations sur les bancs du groupe UMP) je sais que la question du bouclier fiscal gêne beaucoup de monde , je vous demande, monsieur le président, de vérifier le quorum avant le vote de l'amende...
C'est extraordinaire, monsieur Copé ! Dois-je vous rappeler que, tout à l'heure, vous nous avez jeté l'anathème ? Mais peu importe, ce n'est pas le problème et je veux revenir au coeur même de notre divergence. Je vous ai écrit, vous m'avez répondu ; nous avons un désaccord profond sur le bouclier fiscal. (« Et alors ? » sur les bancs du groupe...
Ce n'est pas à vingt-trois heures trente que nous allons étudier cette question. Je demande donc la vérification du quorum vous êtes très peu nombreux