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Les amendements de Jean-Luc Préel pour ce dossier

29 interventions trouvées.

sans augmenter les recettes, ce qui revenait à une nouvelle prolongation, celle-là de sept ans, soit près de trois ans par année de déficit. À ce régime, ce sont nos petits-enfants qui paieront nos dépenses sociales ! De nombreux parlementaires ont dénoncé cette dérive. C'est pourquoi, au nom de l'UDF, j'avais été heureux de me rallier, avec ...

Je vais donc répéter, la pédagogie étant l'art de la répétition. Je répète : si nous ne voulons pas avoir, demain, de nouveaux déficits,

il est indispensable que nous votions, demain, des lois de financement de la sécurité sociale en équilibre, et donc que nous allions vers l'efficience, comme on dit pour la santé. Si les dépenses et les recettes ne sont pas ajustées, il sera indispensable de prévoir chaque année des recettes supplémentaires, afin d'aboutir à l'équilibre et de ...

ont d'ailleurs rejeté l'article 1er qui prévoit cet allongement de quatre ans. Pourquoi « pour une fois » ? Parce que la commission des finances, d'habitude, est très raisonnable et nous pousse plutôt à la discipline, mais que, cette fois, elle s'est laissée aller à une dérive tout à fait étonnante.

La position du Nouveau Centre est claire. Nous refusons toute prolongation. Si le Gouvernement réintroduit cet article, nous voterons contre la loi. Mais je ne peux imaginer que le Gouvernement veuille contraindre le Parlement et passer outre la décision de ces deux commissions,

notamment celle saisie au fond. Jean-Luc Warsmann, tout à l'heure, a fait une intervention que je juge remarquable, argumentée, et il l'a faite avec passion et conviction. Nous devrions donc tous le suivre. Je précise, car je ne veux pas faire de jaloux (Sourires), que notre collègue Yves Bur, fidèle à ses engagements antérieurs, a fait lui a...

 - je regrette d'ailleurs qu'il ne soit pas là car, en commission, il s'est montré extrêmement précis , nous dire qu'une telle augmentation pèserait sur le pouvoir d'achat. Certes, mais les services de Bercy ont calculé que l'incidence serait de 0,05 % du PIB, c'est-à-dire, somme toute, assez négligeable. Une telle remarque concernant le pouv...

Le Gouvernement propose par ailleurs de raboter les niches sociales et fiscales à hauteur de 10 milliards. Le coup de rabot est, selon le Nouveau Centre, justifié, et Charles-Amédée de Courson, qui le propose depuis longtemps, est bien entendu tout à fait d'accord sur le principe. Mais il faut dire la vérité : il s'agira d'une augmentation des ...

C'est indispensable, monsieur Bur. Vous m'étonnez. Je pensais que vous seriez encore plus « rude », si j'ose dire, que moi. Le Nouveau Centre, enfin, rejette par avance l'éventuelle réintroduction, par amendement du Gouvernement, d'une prolongation de la durée de vie de la CADES, auquel cas nous nous verrions contraints de voter contre le proj...